En vacance chez Mamie (chapitre 2)

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En vacance chez Mamie (chapitre 2)La première partie décrivait ma découverte du sexe par les jeux de “touchepipi” que tous les jeunes font.Cette deuxième partie se passe également en vacance chez ma grand mère enBresse. J’ai alors 15 ans et ma voisine Françoise en a 16.Dès le soir de mon arrivée chez ma grand-mère, Françoise vient me voir. Enregardant par la fenêtre je la voie arriver à la porte d’entrée. avant qu’ellefrappe à la porte le temps me paraît anormalement long. Que peut-elle faire?Enfin elle entre. Elle dit bonjour à Mamie et vient me faire chastement etfraternellement un baiser sur la joue droite puis sur la joue gauche, cefaisant elle repousse avec sa main gauche la frange de cheveux qui s’interposeentre nous, et en profite pour me passer deux doigts de sa main gauche sous lenez. elle me chuchota à l’oreille : “pour toi, tout frais cueillit”.Voilà la raison du petit retard à la porte d’entrée. ces deux doigts sontplein de l’odeur de sa foufoune. Qu’elle délicieuse odeur qui me metimmédiatement dans une forme exceptionnelle, pourvue que Mamie ne s’aperçoivepas de la bosse qui déforme mon pantalon. Que cette odeur annonce de bonnechose pour ces vacances.Puis Françoise dit : ” Mamie Jeanne, j’emmène Paul voir les pommiers””Bien sur, vous êtes grand maintenant, mais faites attentions aux guêpes il yen a beaucoup cette année sur les pommes tombées.”Et nous partons vers les pommiers.En chemin Françoise m’apprend que le cultivateur n’a pas semé de maïs prochede nos maisons, mais qu’elle a trouvé dans une dépendance de sa maison unepièce secrète disponible et accessible par l’arrière de la maison.”Comme cela tu pourras y entrer sans que personne te voit”.Et en fin de compte c’est là que nous allons et non vers le verger.Au dessus de ce qui était la grange existait un séchoir à maïs, quidébarrassé, dépoussiéré, équipé d’un petit matelas mousse, de couvertures etde coussins, était devenu, dans les mains de Françoise, un petit nid.A peine arrivés dans notre nid, Françoise se plaque contre moi et nous nousembrassons fougueusement. Je lui caresse la poitrine, qui en un an, à pris unvolume non négligeable. Mes mains glissent sous le T-shirt et je caresse sapeau si douce, je remonte lentement vers ses seins, arrêté bien vite par lesoutien gorge. Françoise se frotte contre moi, je bande, son pubis en frottantme crée comme des décharges électriques dans le bas ventre.Françoise se rend compte de mon émoi et elle se laisse glisser d’entre mesbras, elle est à genoux devant moi, elle ouvre ma braguette, dégage ma bittede son carcan de slip, elle la câline amoureusement, la caresselangoureusement. Puis fait glisser lentement avec précaution le prépuce sur legland. Elle sort sa langue et avec une infinie tendresse elle lèche la peau sifine si sensible de mon gland.”Elle est vraiment devenue très belle ta queue, et qu’elle est douce!”Françoise commence à me lécher comme une glace à la fraise, un coup pardessus, un coup par dessous. Lorsqu’elle passe sur le frein, quelle sensationdivine. Puis elle cherche à la faire entrer entièrement dans sa bouche, maiscela n’est pas facile le diamètre est devenu important.Tout en suçant le gland, sa main droite s’affaire sur la base de ma bitte etsa main gauche fourrage dans mon slip pour caresser mes couilles. j’écarte lesjambes légèrement pour lui faciliter la tâche. Elle en profite pour aller plusloin et glisser un doigt vers mon anus. Cette caresse impromptue et inconnuedéclenche immédiatement l’éruption de mon sperme, qu’elle essaie d’avaler,elle le lèche, et se pourlèche.Elle se relève assez vite et se plaquant contre moi elle m’embrasse goulûment.Ce n’est qu’à ce moment que je compris qu’elle voulait partager mon sperme,nous en avions plein la bouche, nos langues se mêlaient, luttaient, secaressaient dans un mélange de sperme et de salive. Cela avait un goût divinque jamais plus je n’ai put retrouver ni recréer. C’était la première fois queje gouttais au sperme, je n’avais jamais eu l’idée de goutter mon jus lorsqueje me masturbais, Mais offert de cette façon, c’était d’une sensualité que jene peut oublier.Je fais rouler Françoise sur le matelas, on lutte un peu, elle me prend lespoignets pour m’immobiliser. Peut importe je vais chercher sa culotte avec lesdents, avec quelques difficultés mais elle m’aide par ses mouvements debassin, elle glisse jusqu’à ses pieds. Ma bouche retourne vite à son entrejambe et je commence à lui lécher la foufoune. Le duvet blond commence àdevenir une belle canlı bahis touffe mais elle l’a taillé un peu vers le bas cela facilitemon accès.Je lèche les grandes lèvres, à petit coup vers le haut, puis doucement jecaresse du bout de la langue les petites lèvres qui pointent leur nez entreles grandes puis descendant encore un peu je trouve au plus bas en remontantl’ouverture entre les petites lèvres qui me permet d’écarter celle-ci et defaire pénétrer le bout de ma langue dans la vulve, vestibule de sensibilitéavant d’entrer un peu dans le vagin. puis je remonte dans la fente à petitcoup pour terminer langue bien raide sur le clito, que je titille avant de lefaire rouler de droite et de gauche entre mes lèvres.Françoise ronronne, gémit, se pâme, se mord les lèvres pour ne pas crier sonplaisir et alarmer tout le quartier.Une fois un peu calmés nous nous reposons dans les bras l’un de l’autre.Françoise m’explique que maintenant qu’elle à 16 ans sa mère à demandé a sonmédecin de lui prescrire la pilule car elle à peur à son tempérament “leschiens ne font pas des chats” a-t-elle dit.Mais il faudra en profiter au maximum durant les deux prochaines semaines carson cousin et sa cousine arrivent dans 15 jours. Il s’agit de jumeaux de 11ans, Hervé et Laure. Deux petits diables et elle doit les surveiller pendanttrois semaines. Il ne sera pas questions d’être seuls.Et nous en avons profité, mais pour moi avec toujours une grosse déception :Françoise ne voulait toujours pas de pénétration. Elle avait peur. De quoi ,je ne le savais pas?La douleur, mais elle utilisait les Tampons, d’être enceinte, elle était souspilule m’avait-elle dit. Si nos après-midi étaient toujours aussi sensuels, ilme manquait quelques chose.Et puis arriva les jumeaux, des diables? oui et non, gentils, attachants,sensibles, câlins, mais toujours là ou on ne les attend pas, toujours dans vosjambes quand on se passerait bien d’eux.La première journée je n’osais pas aller voir Françoise. Mais la deuxième jen’y tenait plus. Mais comment l’embrasser amoureusement avec les jumeaux?Ce ne fut que quelques petits gestes de tendresses cachés, quelquesattouchements les plus discrets possibles. C’était un enfer. J’en ai pleuré lesoir dans mon lit tellement j’étais frustré de ne pouvoir câliner maFrançoise.Le troisième ou quatrième jour, je ne sais plus bien, j’étais dans le vergermitoyen lorsque les jumeaux arrivèrent avec Françoise. Celle-ci me fit unechaste bise sur la joue, Hervé après avoir fait de même me mit deux doigts desa main gauche sous le nez et me dit :” Paul, a-t-on avis qu’est ce que ça sent?”. Cela sentait la foufoune, et mêmej’étais près a parier que cela sentait la foufoune de Françoise. Mais celan’était pas possible, non cela était impossible! J’étais tellement en manqueque j’inventais n’importe quoi.”Heuu! Heu!! Je ne sais pas moi.””Cela ne te dit rien” me répondit Hervé”Et ça” me dit Laure en me mettant son index sous le nez. Alors là, plus dedoute je ne fantasmais pas, c’était vraiment l’odeur d’une foufoune, plusacide que celle de Françoise, mais il n’y avait pas de doute c’était unefoufoune. Comment leur répondre à ces gamins. Le sexe n’est pas une affaire degosse (“Hé Paul à quel âge as-tu commencé à t’intéresser au sexe?” me susurraune petite voix dans ma tête).”Ça n’est pas possible, Françoise dit moi que ça n’est pas possible.””Et si c’est possible Paul. Les doigts d’Hervé sentent Ma foufoune et ceux deLaure la sienne. Je vais te raconter.””Hier soir j’ai couché ces garnements comme d’habitude vers 10 heures etdemie, puis je suis allé faire ma toilette. Avant d’aller dans ma chambre j’aivoulu voir s’ils s’étaient endormis. Je les ai retrouvés tous les deux dans lemême lit, en position de 69 et ils se suçaient avec ardeur. Tellement absorbépar leurs sensations qu’ils ne m’ont pas entendus venir. Je me suis fâché, oudu moins j’ai essayé de leur faire croire””Françoise nous à dit qu’elle allait tout raconter à nos parents, et queceux-ci seraient très fâchés et nous sépareraient pour longtemps.” PoursuiviHervé”Alors je lui fais remarquer que si elle disait à nos parents ce que nousfaisions, alors nous dirions ce que nous avons vu hier. Ce que tu lui a fait”dit Laure”Comment ce que j’ai fait hier à Françoise,” m’exclamais-je.”Oui, nous avons bien vu que tu lui à passé la main sous la jupe, nousn’étions pas loin et nous avons tout vu, même que je suis sûr que ta main estpassé sous la culotte pour prendre un peu de jus. Le même que celui que jet’ai apporté.” bahis siteleri dit Hervé.”Bon cela ne m’explique pas pourquoi Françoise t’a laissé faire cela””Et bien après les avoir découverts, et m’être fait coincé je ne pouvait plusfaire grand chose, sinon discuter avec eux sur le sujet. Ils m’ont apprisqu’ils se caressaient depuis déjà deux ans, et qu’ils seraient heureux depouvoir en parler avec nous. Puis Laure m’a posé des questions, –comment lesexe filles devient lorsqu’elles grandissent–. Comme il est difficile deparler sans exemples, et qu’ils étaient tout nus je me suis déshabillée, etc’est comme ça qu’Hervé à commencé à me toucher puis a put me sucer.””Bon, je vois, nous n’avons plus grand chose à cacher à ces petits. Nousserions mieux pour en parler dans notre retraite, qu’en penses-tu Françoise?””Oui, vite suivez moi, nous allons dans le nid d’amour”A peine arrivée dans notre nid, et sans s’occuper de la présence des jumeauxFrançoise me prend dans ses bras et m’embrasse goulûment, je lui réponds avecla même fougue. Depuis si longtemps (une semaine) que nous ne pouvions plus lefaire. Elle frotte son pubis sur ma braguette. Je lui malaxe, avec douceur,mais fermement les seins.Hervé et Laure nous regardent faire très intéressé, ils sont assis l’un à cotéde l’autre. Mais leurs mains ne sont pas inactives, elles sont dans la culottede l’autre. Entravés par leurs vêtements, les jumeaux ont vite fait de seretrouver tout nus. Je lance un regard, Laure à une foufoune lisse, bienfendue, luisante d’envie de caresses. Je murmure dans l’oreille de Françoise”Regarde les ces deux là, ils ne se font pas prier, et si ont se déshabillaitaussi.”Aussi tôt dit aussitôt fait . Nous voilà tous nus, Françoise en train de mesucer la bitte, Hervé et Laure regardant à quelques centimètre l’un à droitel’autre à gauche.”Ça devient gros une bitte quand on devient grand! Hou là là elle est grosseta bitte Paul!” me dit Hervé”Quel goût elle à, Françoise, tu me laisse goûter?” et c’est comme ça que jeme suis retrouvé nu avec une petite de 11 ans entrain de me sucer. Sansdemander son reste Françoise se mis à sucer Hervé, qui lui cherchaitdésespérément à lui atteindre sa foufoune avec sa langue.Très vite j’ai fait comprendre à Laure qu’il était plus confortable d’êtreallongé sur le matelas, cela me permettais aussi d’atteindre sa foufoune etc’est en 69 que je continuais cette découverte, j’étais au dessus, la têteentre ses jambes, que je lui relevais le plus haut possible pour avoir unemeilleure vue sur son petit trou.Laure avait une foufoune délicieuse, plus acide que celle de Françoise, maistrès lisse sans aucun poil, sur et autour des grandes lèvres. Après avoirexploré tout autour de la fente, je cherchais vers le bas la partie plusouverte qui me permettrait de rentrer la pointe de ma langue dans ce sillonodorant. Je remontais ma langue lentement en dessinant de petits cercles commeune petite tornade.Lorsque je suis arrivé vers son bourgeon j’ai ralenti mes cercles pour luilécher à petits coups vers le haut, Laure se mit à gémir, à crier presque, jelaissais pour quelques temps son clito pour redescendre vers le bas, elle euun sursaut qui fit que je descendit un peu trop loin, et ma langue alla seficher sur son anus. Laure sursauta encore plus fort, elle miaula presque”non, pas là.” J’insistais juste un peu et elle miaula de nouveau “nooon,………….. ouiiii c’est bon “Sa foufoune bavait de plaisir. Je léchais son jus qui coulait sur son petittrou. Puis je suis remonté sur son clito en passant par tous les recoins cachésde sa vulve. C’est alors qu’elle se tétanisât, eu des contractionsimpensables, elle venait d’avoir un orgasme comme jamais elle n’avait eu. Ellem’avait un peu oublié pendant ce temps mais le plaisir que j’avais eu en lafaisant jouir était une récompense formidable.Me voyant resté en rade, Françoise dit : “Hervé, Laure avez-vous déjà vu dusperme?””Du sperme? qu’est-ce que c’est?””Tu sais “dit Hervé “c’est le jus blanc qui sort du zizi comme on l’a vu surles photos des magazines de papa””Ah non je n’en ai jamais vu en vrai” répond Laure”Alors je vous montrer.” Françoise s’approchât de moi me pris la bitte dans labouche et commença a me sucer, sa main droite s’occupait de la base de maverge et sa gauche caressait souplement mes couilles, de temps en temps elles’égarait vers mon petit trou. Laure s’écarquillait les yeux pour tout voir,Hervé regardait en caressant sa petite bitte imaginant le plaisir que l’on peuretirer d’un bahis şirketleri tel traitement. Étant allongé sur le dos, et Hervé a quatre pattesla tête vers ma bitte, la sienne n’était pas très loin de mes lèvres jeglissait la tête et la lui pris dans ma bouche.”Ho, Paul veut me sucer! ………. Hé pas entre garçon!” cria Hervé.”Et pourquoi pas” dit Françoise ” tu bien vu qu’hier j’ai sucé ta soeur”.J’embouche sa petite bitte. Son érection est assez molle. Délicatement avecles lèvres je le décalotte, et lui lèche le gland. Avec la langue je luichatouille le frein. Pendant ce temps Françoise s’active sur mon pénis, lessensations deviennent de plus en plus forte, je n’en peu plus je quitte Hervépour me concentrer sur mon plaisir. Des contractions se nouent dans mon basventre et vers mes couilles, Françoise les sent au travers mon érectionsaccadées. Elle s’arrête un bref moment pour dire aux petits ” regardez, il vajouir, son jus va gicler.” Et elle s’active avec sa main. Je ne peu plus meretenir dans un grognement de plaisir j’éjacule. Mon foutre gicle et vas’écraser sur la joue de Laure qui me regarde de très près, une grosse partietrès près de sa lèvre supérieure, Françoise lui dit : “lèche, tu verras c’estbon.” Laure lèche sa lèvre entraîne mon foutre dans sa bouche pendant queFrançoise lèche à petits coups les dernières gouttes sorties.Jusqu’à la dernière semaine des vacances nous avons régulièrement fait desaprès midi ou nous nous léchions, sucions caressions le sexe mutuellement sansdistinction entre garçon et fille. Mais il faut bien avouer que les fillespréféraient les garçons et réciproquement nous préférions les filles. Jamais jen’ai demandé à Françoise de la pénétrer malgré le désir de le faire, jerespectait sa décision.Au cours de la dernière semaine, un après midi un peu orageux, comme nousétions tous affalés en vrac sur notre matelas, Laure nous demanda :” Vous avez essayé de baiser pour de vrai?””Comment ça pour de vrai?””Ben, oui, pour de vrai quoi, avec le zizi dans la foufoune”Françoise répondit : “Non, j’en ai bien envie, mais maman ma tellement dit quecela faisait mal que je n’ose pas””Si cela faisait mal, les adultes n’en parlerait pas comme cela, c’estprobablement pour nous tromper.” insinuais je.Et je continuais “Si Françoise le veut, je suis prêt.” En lui montrant uneérection bien dure. (Il faut dire que la petite main de Laure avait bienpréparé le terrain. Quand à Françoise, je ne me faisais pas de souci leléchage d’Hervé avait probablement bien lubrifié.Après un cours moment d’hésitation Françoise dit “Aller Paul vient, baise moi,baise moi devant Laure, montre lui.Elle se mit sur le dos, leva les jambes en les écartant, offrant son sexe, auregard de tous. Je me mis entre ses jambes, à genoux et je demandais ” Laureaimerais-tu guider ma bitte vers la foufoune de Françoise.”Ho ! oui, super, .” elle se saisi de mon sexe et le guida vers l’entréeruisselante de Françoise. Une fois le gland positionné à l’entrée je poussaislentement, centimètre par centimètre. Quelle sensation !!!Françoise aussi savourait cette nouvelle sollicitation de ses sens. Elleronronnait, “Ouiiii. Doucement. HO que c’est bon. Que c’est gros.” Cettesensation de remplissage lui était particulièrement agréable. Les amusementssans pénétration sont toujours associé a une sensation de vide. Là avec mabitte que je commençais à faire aller et venir dans son antre mielleuse, lasensation de vide était remplacée par une sensation de plénitude. Nous avionsréellement l’impression de ne faire qu’un. L’un remplissant l’autre, l’autreétant le complément du premier. C’était formidable, pas de douleur (l’hymenétant défloré de longue date par les tampons).Les jumeaux nous regardaient, la main sur ou dans le sexe, gourmands, la languesur le bord des lèvres. Et je limais lentement Françoise, accélérant petit àpetit car ma jouissance approchait. Françoise commença à faire des mouvementsde plus en plus désordonnés, elle geignait, criait presque, elle eu plusieursspasmes violent qui déclenchèrent chez moi le paroxysme de ma jouissance . Jelui envoyait au fond de son vagin toute ma semence, et je m’effondrais, sansforce sur elle. Nous avons roulé sur le coté en nous embrassant. Les jumeauxne voulant pas rester en dehors s’approchèrent et nous embrassèrent ce fut unbaiser à quatre bouches et quatre langues.Nous n’avons eu qu’une fois l’occasion de recommencer avant la fin de nosvacances. La séparation ne fut pas facile et ni ma Grand Mère ni nos parentsrespectifs non pas bien compris pourquoi nous étions si peu pressé de nousséparer des jumeaux. Nous nous sommes donnés rendez-vous pour l’annéeprochaine, sans aucune promesse de sagesse pour l’année à venir.Paul

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