Luce a ZombieLand – 4

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Luce a ZombieLand – 4Le combatUne fois en face du groupe de zombies femelle qui avançait comme au cinéma, lentement, en se balançant maladroitement sans aucune expression sur leurs visages tout blêmes au trait accentuer par du maquillage de pro, mon coeur accéléra. Je fis comme mes guides, je lever les bras, jambes écarter pour assurer mon équilibre dans cette boue liquide, prête a défendre chèrement mes vêtements détremper par toute cette fausse pluie qui nous tombaient dessus provenant de gicleur cacher là-haut dans la brume. Je n’allais pas me laisser déshabillé si facilement, ça non, « en tout cas, je vais essayer, » me dis-je en souriant. Mais, l’adrénaline montait en moi et ça m’excitait tout de même un petit peu… Même pas mal ! J’ai toujours été une fille qui aimait relever les défit, malgré ma gène maladive et ma timidité, et la…. J’en avais un de taille a relevé. Rester habiller ! Les empêcher de m’arracher mes vêtements. Non ! Je ne voulais vraiment pas me retrouver nu ici, devant tout ce monde et sans doute filmer par des caméras dissimulées quelque part. M’exhiber comme ses danseuses dans les clubs qui luttent devant public dans de la gélatine ou de la boue ! Non, pas moi ! Surtout pas à mon âge.Mais le ferait-elle vraiment ou est-ce que 1 et 2 voulaient juste me stresser un peu plus ? Je le saurais bien assez vite car les zombies se rapprochaient inexorablement tandis que nous étions dos à dos toutes les trois, fesses contre fesses ! Mes jeunes guides semblaient prêtes à en découdre pour me protéger, en principe, mais je ne m’y fiais pas trop. Une petite voix me disait que le but du jeu justement était que je me retrouve à poil. La, je frissonner, ma peau se couvrit de grosse chair de poule. Moi qui ne portais jamais de bikini, juste des maillots une-pièce à cause de ma grosse poitrine que je détestais exhiber.C’était tout de même un peu fou tout ça. Leur maquillage était si réaliste que même de près elle faisait vraiment zombie, plus les fausses blessures, les grognements et le décor, et les sons ambiants. Et il y avait aussi cette maudite boue dans laquelle on pataugeait et cette pluie qui me faisait cligner des yeux sans arrêt et qui me chatouillait le bout du nez.Je me crus, sur le coup, l’héroïne d’un film d’horreur de série B, ou Z. C’était exaltant, enivrant ! Puis je me dis; (L’héroïne ou la nounoune qu’on engage juste parce qu’elle a de gros seins ma vieille.) Je ris toute seule, moi l’enseignante intello, j’en étais là, à essayer d’empêcher d’autres femmes de me déshabiller. Cela avait un petit quelque chose d’absurde.Je regarder une jolie zombie nue dans la vingtaine qui avançait vers moi, mains tendues en avant, les doigts replier comme des serres, ça bouche encercler de sang noir; mince, cheveux longs et plaquer sur le visage, seins lourds aux petits mamelons roses et dressés qui se balançait mollement, toison ovale très noire, cuisses fuselées. Je lui envier ses jolies formes et sa jeunesse mais pas ses dents jaunies et noircit artificiellement. Une autre la suivait en jupe courte et blouse déchirer et ouverte laissant voir de gros seins blancs qui se balançaient mollement. D’où venaient toutes ces filles et ces femmes ? Car certaines semblaient avoir mon âge, ce n’était pas toutes des petites jeunes. Elles devaient se passer le mot entre amis. (Vient travailler là-bas, ses cool ! On se maquille en zombie, on se balade nue dans la boue et on déshabille des petites vieilles.) Seigneur !Je planter mes petits orteils dans la boue pour résister le plus possible a l’attaque en me balançant de droite à gauche comme une lutteuse, bras lever, mains ouvertes, paumes vers l’avant, cette satanée boue semblait me sucer les pieds et mes bas glissaient sur mes cuisses a nouveau. Elles avançaient si lentement que c’en était exaspérant. 1 et 2, visiblement habituer a ce jeu, repoussait déjà des filles zombie très facilement qui tombaient sur le cul dans la vase, moi une ! La belle noire, j’éviter de la pousser sur les seins mais par les épaules, ce simple contact me donna la chair de poule et comme j’avais hésité un peut, elle avait eu le temps de s’accrocher d’une main a ma blouse qui c’était ouverte complètement car mon dernier bouton m’avait lâcher. Merde ! Au premier assaut j’exhibais déjà mon soutien-gorge détremper et devenu transparent, 1 et 2 ne rigolaient pas, on voulait vraiment me déshabiller ! La fille tomba assise dans la boue et se relevait déjà mais difficilement et d’autres approchaient. Je pris quand même le temps de rattacher ma blouse en y faisant un noeud. Je terminer juste a temps pour en repousser une autre en riant maintenant et encore une autre portant juste des bas filets et une mini-jupe. Tandis qu’elle était sur le cul, jambes en l’air en tentant de ce relever, je ne pus m’empêcher de regarder son sexe bien en vue car elle n’avait pas de slip. Son pubis était rasé, elle n’avait gardé qu’une petite ligne noire. Voir son sexe me troubla plus que de voir tous ces seins nus. Je suis un peu bi et là, je me rinçais l’oeil tout en m’éclatant. Je n’avais pas vu le sexe d’une autre femme depuis longtemps, sauf les rares fois ou en baisant moi et mon copain on se mettait un porno. Mais là, ce n’était pas du cinéma et je me sentis mouillé. Cette espèce de Zombie land, parc d’attraction pour lesbienne devenait de plus en plus délirant. Ça me plaisait, sauf l’idée de me faire déshabiller.La fatigue, l’énervement, la situation me fit rire comme une idiote, pour l’instant je m’amusais bien tout en essayant de garder mon équilibre avec l’énergie du désespoir. Elles étaient bien une vingtaine a nous attaquer mollement en grognant, en fait, elle ne n’attaquait que moi et sans trop d’énergie. Celles qui tombaient se relevaient couvertes de boue et revenaient à la charge lentement comme des automates. Des mains sales couraient partout sur mon corps mais surtout sur ma poitrine impossible à manquer. bahis firmaları Elles tiraient sur ma jupe et ma blouse et ça me faisait frissonner de peur, de peur qu’elles réussissent à tout m’arracher. Puis je me rendis compte que l’on se rapprochait du quai peut a peut, de mon salut en fait pour éviter la honte de m’exhiber nue, mais ce n’était pas évident. Je ne cessais d’enlever des mains qui s’accrochaient à moi, mais au moins, elles n’essayaient pas de me mordre comme au cinéma.J’écrasais des seins en poussant les filles avec acharnement les mains pleines de boue, c’était embarrassant mais… pas désagréable du tout. Même que j’en profitais un peut, elle, en tout cas ne se gênait pas pour me tripoter. Une jeune asiatique zombie voulu m’arracher ma blouse comme une enrager, je me venger en agrippant sa minuscule camisole blanche tacher d’éclaboussure de sang et tirer violemment pour lui arracher avec une facilité déconcertante. J’en rester pantoise un instant, le top dans les mains a regardé ses seins menus tout blancs aux pointes dresser et je la repousser en arrière, elle tomba entraînant deux autres zombies avec elle et sans un cri. Je jeter le vêtement en sentant tout à coup une main glisser dans ma jupe contre mes reins et je fus tiré violemment par en arrière en criant. Ma jupe craqua aux coutures tandis que je perdais l’équilibre. Mon coeur bondit à l’idée que ma fermeture éclair ne me lâche. Je tomber sur le dos en m’enfonçant dans la boue, jambe en l’air et écarter, montrant mon entrejambe a qui voulait bien le voir et ce n”était pas le publique qui manquait. J’eus un petit moment de panique en relevant la tête et je grimacer de dégoût en sentant la boue s’infiltrer sous ma jupe contre ma petite culotte. Paniquer je fermer les cuisses. Je ne voyais plus que des zombies montrant les dents pencher sur moi bras tendu sous la pluie battante qui me faisait cligner des yeux. Mais ou était dont passé 1 et 2 ? Mon coeur cognait tandis que j’essayais de me relever mais sans y parvenir tout en repoussant ces mains qui s’agrippais maladroitement a mes jambes, mes bras et a mes vêtements devenus glissant et elles me tiraient maintenant par les pieds m’écartant les jambes a nouveau. C’était comme si elle voulait m’entraîner quelques parts en plus de vouloir me déshabiller. « Le cachot » Ça fit (tilt) dans ma petite cervelle. Désespérer, j’agitai les jambes et les bras en me tortillant en me sentant glisser dans la boue sur le dos ce qui releva ma jupe complètement, tout en leur criant de me lâcher mais rien n’a faire évidemment. Elles m’emmenaient à ce fameux cachot sans doute et le jeu serait terminé. Bras et jambes écarter je me faisais tirer comme un a****l que l’on amène a l’abattoir tandis que je sentais mon slip me rentrer dans la craque de fesses.— Merde ! Lâchez-moi ! Hurlai-je en agitant les jambes avec encore plus de vigueur. Celles qui me tiraient par les pieds en tombèrent sur le cul. Yes !Mais aussitôt une zombie m’accrocha par le collet et tira et une autre par mon bras droit, elles s’efforçaient de m’enlever ma blouse que je sentais déchirer et soulever. Ça craqua même si je me débattais comme si ma vie en dépendait, mon noeud se défit, ma manche déchira et fut enlevé aussi sec, la zombie en tomba sur le cul a son tour. Et ce fut la curée, j’avais des mains partout, sur les jambes et le torse et le reste de ma blouse suivit la manche en me passant par-dessus la tête en même temps qu’un de mes bas qui me fut retiré. J’avais beau me débattre je n’y pouvais rien, surtout dans cette position, coincer sur le dos dans la boue. Mais 1 et 2 vinrent a ma rescousse finalement et juste a temps car elle s’en prenait maintenant a mon soutien-gorge qui résistait par miracle étirer de toute part et même a ma petite culotte. Éberluer, je baisser les yeux pour apercevoir la zombie au masque à gaz de tout à l’heure, celle de l’ascenseur. Elle était a quatre pattes entre mes cuisses, seins étirer et ballottant, une main rentrer sous ma jupe tandis que d’autres me tenaient les jambes écarter et relever a nouveau. Je sentis clairement des doigts dans la boue me chatouiller l’entrejambe et le sexe en cherchant mon slip pour me le retirer. Je grogner en me tortillant de plus belle en réussissant a refermer mes genoux sur ses hanches pour la bloquer un peut pendant que 1 et 2 me dégageaient finalement. Je ne sais trop comment mais elles firent le vide autour de moi, puis 2 agrippa miss masque a gaz, la souleva et alla la jeter plus loin comme si de rien n’était. Toute les deux aussi sale que moi elles m’aidèrent a me relever.À bout de souffle, chambranlante, couverte de boue liquide, le coeur battant a tout rompre, je rajuster mon soutien-gorge en voyant que j’avais un sein a l’air. Merde ! Je le remis en place difficilement tellement la boue le rendait glissant en apercevant tous les zombies par terre qui essayait de se relever mollement. Jamais je n’avais vu mes mamelons aussi gros ni aussi durs et ils me chatouillaient. Je me sentais si vulnérable a présent avec juste ma brassière sur le dos, même si elle était détrempée et devenue transparente et au moins j’avais sauvé ma jupe que je rabaisser et il me restait un bas. Tout à coup je sentis mon slip détremper, alourdi par la boue et ramolli glisser le long de mes cuisses. Je le remonter en me tortillant sous le regard amuser de mes guides. Étrangement, je me sentais de nouveau protéger tout en grimaçant de le sentir dans l’état ou il était me coller a la vulve. 1 et 2 me regardaient tout sourire. Une bouffée de chaleur me monta au visage en leur faisant une grimace avant de rire de nervosité en reprenant mon souffle. Jamais de ma vue je n’aurais cru qu’un jour je me retrouverais dans une situation pareil. Presque à poil, couverte de boue et devant un paquet de filles déguiser en zombies. Je ressentis tout de même de gros frissons d’excitation. Cette lutte entre filles et kaçak iddaa tous ses attouchements avaient quand même quelque chose d’excitant.— T’as failli y passer Luce, fit 1 moqueuse en repartant avec 2 vers le quai où d’autres zombies nous attendaient. La boue leur plaquait les cheveux sur la tête toutes les deux et dégoulinait sur leur corps nu à peine laver par la pluie et j’étais dans le même état, enfin presque. Je me sentais comme une enfant qui vient de jouer avec des amis dans de la vase, les grosses boules en plus. Je voyais mes seins lourds se balancer en priant pour pouvoir au moins garder mon soutien-gorge. À mon âge, ça tombe et c’est gênant.— Qu’est que vous faisiez toutes les deux, un pique-nique ? Demandais-je en m’empressant de les suivre prudemment bras écarter pour garder mon équilibre car mes pieds glissaient sans cesse. — À t’ont avis, répondit 2.En tournant la tête je vie que les zombies derrière nous nous suivaient mollement toutes aussi éclaboussé qu’ont l’était. Même celle qui avait un masque à gaz se ramenait. Celle-là, je l’avais dans le collimateur car elle s’en était prise à mon slip.Je stopper un instant pour me débarrasser rapidement de l’autre bas tout déchirer et qui m’encombrait, tant qu’à faire, et on se remit a repoussé du zombie en se rapprochant lentement mais sûrement du quai. On était de nouveau entouré. C’était un étrange combat au ralenti en marchant et sans vouloir se blesser. Je repousser encore des doigts s’agrippant a moi et me tripotant sans gêne en me chatouillant, je fus rejeté dans la boue a nouveau en criant et relever a nouveau en riant. Je m’amusais plus que je l’aurais imaginé. Tout ça était carrément fou. Mes mains glissantes arrachaient aussi des vêtements, déchirant des blouses où des robes ont celles qui en avaient ou je pressais sans gêne à présent des seins glissants ou des fesses et ce n’était pas désagréable. Oh non ! Même que j’en profitais pas mal je l’avoue. À bout de souffle je tassais du zombie parfois avec un léger coup d’épaule toujours en riant, ou me faufilais entre elles assez habilement tellement elles étaient lentes. Je tombais souvent, mais je me relevais et j’avançais de plus en plus difficilement en grognant à demi nue harceler de toute part. Des mains glissantes m’agrippaient le ventre, les cuisses, les seins, pour me retenir me chatouillant au passage et me faisant rire aux éclats ou essayait de se faufilée sous ma jupe pour m’arracher encore mon slip me faisant crier et me débattre encore plus. J’avais l’impression de marcher dans de la neige profonde tandis qu’une meute de loups essayait de me dévorer toute crue. Et soudain je lâcher un (Noooon…) Retentissant, en sentant des doigts boueux agripper fermement l’élastique de mon soutien-gorge contre mon dos et tirer vraiment, mais vraiment fort. Merde ! C’était inévitable ! Je fus stoppé net et sentis ma brassière me comprimer les seins, puis les crochets si fragiles lâchèrent d’un seul coup. J’agrippai ma poitrine décourager pour soutenir mon soutien-gorge mais, j’avais besoin de mes mains pour repousser celles qui m’attaquaient par devant. Résigner, je dus tout lâcher en grognant de frustrations, mes gros seins tombèrent mollement mais pas trop avec mes petits mamelons pointant en plein centre. Je fus rapidement débarrassé du soutien-gorge devenu inutile de toute façon. J’avais l’impression d’avoir été vaincu en le regardant disparaître dans la boue. Je me défendais seins nue maintenant et déjà des mains me les agrippais par derrière et de partout faisant durcir encore plus mes mamelons, ce qui me chatouillait terriblement, tandis que d’autre essayait de descendre la fermeture éclair de ma jupe. Ça y était, j’allais me retrouver nue et je n’y pouvais rien, j’étais exténué. Mes jambes étaient de plus en plus lourdes et j’avais mal au bras à force de pousser. Je songeais sérieusement à renoncer et à me laisser faire. Pourquoi pas ? Ça pourrait être agréable. Mais tout à coup j’aperçus celle au masque à gaz qui s’amenait. Ça me redonna de la vigueur de la voir. Je serrer les dents et continuer a me démener dans ce tourbillon de mains qui m’agrippaient.Du coin de l’oeil je voyais1 et 2 qui était submergé elles aussi et se débattaient comme elle le pouvait. Enfin, je me plaisais à le penser. J’eus au moins le plaisir de repousser Miss masque a gaz plus d’une fois en lui palpant la poitrine ou les fesses au passage, tant qu’à faire et même de lui enlever son masque dans la mêler pour le jeter au loin en riant. Quelques zombies avaient des poitrines presque aussi généreuses que la mienne, surtout les plus âgées et ça ballottaient joyeusement en m’effleurant ou s’écrasant sur moi. Plus on approchait du quai, moins la boue était profonde et je me ramassais parfois au sol sous une mêlé de corps presque tous nu a présent, glissant et visqueux qui se frottait a moi en me tripotant partout. Des seins écrasaient les miens ou me traînaient carrément dans le visage et parfois même des vulves couvertes de boue tandis que des mains se faufilaient le long de mes cuisses sous ma jupe. J’hallucinais en me tortillant, en riant aux éclats ou grognant comme si ma vie en dépendait. Je mouillais de ressentir tout ça en serrant tout de même les cuisses écrasant des doigts trop fureteurs contre mon sexe gonfler qui pulsait. Garder mon slip et ma jupe, c’était devenu mon seul but. Je me tortillais et réussissait toujours a les repousser et a me relever mais de plus en plus difficilement. C’était amusant, excitant mais surtout épuisant. Elle aussi semblait épuiser et tant mieux.On était tout près du quai maintenant et de l’échelle qui permettait d’y grimper et en grognant je faisais des efforts désespérer pour y parvenir avec se qui me restait de dignité et ce que j’avais sur le dos. Mais tout en sachant très bien que je n’y arriverais sûrement pas sans perdre un peu des deux. J’allais y arriver, j’étais tout près, kaçak bahis ce qui me redonna espoir mais soudain ma jupe fut tirée vers le bas et par en arrière me bloquant les jambes. Les yeux ronds de surprise je tombai à plat ventre dans la boue tandis que des dizaines de mains me plaquait au sol et que des doigts ouvrait ma fermeture éclaire. Ma jupe s’envola comme par magie. Ça y était, je sentais mes fesses a l’air et on essayait déjà de m’enlever mon slip et je n’y pouvais plus rien, à part agiter mes courtes jambes et les replier en une vaine tentative de garder le seul vêtement qui me restait. Mais on me rabattit les pieds à terre sans ménagement. J’étais épuisé, à bout, résigner en me maintenant la tête relever pour respirer entre les genoux écarter d’une zombie. Étrangement je trouvais sensuel de patauger nue dans cette boue liquide sous la pluie avec toutes ses mains sur moi qui me maintenait plaquer au sol. C’était même plutôt agréable, la pointe de mes seins me chatouillait terriblement sous mes seins écraser débordant de mon torse. Les yeux toujours fermer je sentant mon slip qui glissait le long de mes cuisses quand soudainement on me lâcha, 1 et 2 sans doute venant a ma rescousse encore une fois, enfin ! Je me retourner sur le dos difficilement et remonter une nouvelle fois ma petite culotte devenue grise comme ma peau. Je réussis a m’asseoir puis a me relever difficilement en enlevant la boue de mes yeux et de ma bouche avant de me faufiler en dérapant tout près du quai jusqu’a l’échelle pour m’y accrocher comme a une bouée de sauvetage. J’aspirais l’air à plein poumon en regardant ma grosse poitrine dégoulinant de boue se soulever et se rabaisser. Au moins, cette boue qui me recouvrait me cachait un peu mais pas pour longtemps car la pluie me nettoyait lentement.« Allez y, » me dis-je en riant de fatigue en regardant tout partout toujours a la recherche de caméras,« rincer vous l’oeil qui que vous soyez ». Je me sentais trop épuiser pour être gêné ou embarrassé. En fait, je m’en foutais de plus en plus. Mes 49 ans me faisaient des jambes de plomb, j’étais à bout de souffle, je n’en pouvais plus.— Vite grimpe Luce, me cria 2 en s’approchant avec 1 suivit par la meute qui se regroupait.Tout le monde était recouvert de boue et les zombies semblaient tout aussi épuiser que nous ce qui les rendait encore plus lentes qu’au début. Je me retourner pour agripper les barreaux de l’échelle couverte de mousses qui ne semblait pas fiables du tout et trouver la force de grimpé tandis qu’on me poussait par les fesses sans ménagement pour m’aider et j’en avais bien besoin mais ça me chatouilla et je ris de plus belle. Mes seins glissant sur les barreaux de bois me chatouillaient plus que jamais. Une fois au sommet je fis quelques pas a quatre pattes seins traînant quasiment au sol pour m’affaler sur le ventre sur le quai recouvert de mousses détremper tout aussi confortable qu’un bon matelas. Du coin de l’oeil, je vis d’autres zombies qui attendaient devant la porte de l’usine venir vers moi. Celles-là avaient encore des vêtements en lambeaux, les seuls sans doute. Je me contenter de soupirer exténuer et de rouler sur le dos en fermant les yeux à cause de la pluie qui me martelait la peau et cela me faisait du bien. Je n’avais même plus la force de me défendre. Je les entendis approcher et ne lever même pas le petit doigt en les sentant se pencher sur moi et tirer mon slip.Elles m’enlevèrent ma petite culotte agrandie tellement on avait tiré dessus et je m’en foutais. J’aurais même fait un somme. Moi, la petite brunette aux gros seins si prude, je me foutais tout à coup d’être entièrement nu dans une place publique. Un parc d’attractions de dément. J’ouvris les yeux pour voir les zombies repartir avec mon slip et se battre pour comme si c’était un trophée en me dédaignant complètement. J’en fus presque déçu.1 et 2 apparurent entièrement recouvertes de boue comme deux jeunes déesses des temps anciens, au bon vieux temps du paganisme. Elles me relevèrent malgré mes protestations, je ne pensais qu’à rester là pour me reposer comme sur une plage. Elle respirait par a coup, épuiser elles aussi. Une fois debout, je sentis toute ma nudité et ma gêne revint mais le mal était fait. Je regarder le marais tandis qu’elles m’entraînaient. Les zombies s’accumulaient aux pieds de l’échelle et y grimpaient. On franchit la porte de l’usine et elles la refermèrent pour la barrer avec un loquet. On entendit aussitôt des coups sourds contre celle-ci.— Seigneur ! Fi-je plier en deux de fatigue, les mains sur mes genoux glissants, seins pendants, essayant de reprendre mon souffle en fixant la porte. Ses pas possible, chut toute nue les filles, vous n’étiez pas censé me protéger ? — C’est ce qu’on a fait Luce, fit 1 en souriant. Enfin presque, au moins tu es encore dans le jeu.— Fini pour moi, je n’en peux plus et je veux une serviette ou un peignoir, quelque chose et vite. J’ai plus de souffle les jeunes.— La, ma belle, déclara 1 tout sourire, tu rêves en couleur si tu penses que c’est terminé.— Hum, fit 2 moqueuses, ce n’est que le début du parcours Luce.Je leur fis une grimace et fini par rire aux éclats tellement je me sentais épuisé, avec en plus le goût acre de la maudite boue dans la bouche. Tout ce que je voyais c’était ma grosse poitrine sursauter et mes petits orteils.— Une douche chaude et une serviette ou des vêtements. Merde ! Je n’en ai même pas apporté de rechange. C’est moi la cliente, vous êtes les esclaves, alors obéissez ! Je ne vais pas rentrer chez moi comme ça, avec le froid qu’il fait dehors en plus.— Bon, fit 1 en soulevant ses petites épaules en enlevant de la boue de ses bras maigres et de sa petite poitrine, c’est toi la cliente comme tu dis, c’est par là bas la sortie, au sous-sol.— Au sous-sol, mais on est dans le sous-sol.— Tu crois ? Fit 2 en se lissant les cuisses pour se nettoyer.Je me redresser et me retourner en m’essuyant le visage tout en découvrant pour la première fois ce qu’il y avait autour de nous. Je cacher ma poitrine par habitude en serrant les cuisses tout en arrondissant les yeux et je dis :— Jésus-Marie-Joseph !

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