Des cours de rattrapage

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Des cours de rattrapageJe n’y ai cru au début. A cet âge on est rempli d’une foule de fantasmes. On apprend à ses dépens que peu se réalisent. J’avais pris pas mal de râteaux avec les filles. Je n’osais regarder alors vers les autres et vraies femmes. Devant l’effronterie de certaines le jeune homme que j’étais baissait les yeux. J’étais envahi d’une timidité irrépressible trop fasciné par ces garces. Les ans passant je prenais davantage de poids et m’attirais des fois le compliment de joli garçon au point que j’eus un rapport un été avec une femme, une vraie.C’était une amie de ma mère. Je me suis bien gardé d’en parler à quiconque. J’ai assuré à celle-ci de garder le secret. Je n’avais aucun intérêt au scandale et m’en glorifier n’était pas dans mon tempérament. Cela dura trois semaines. En cours accéléré j’appris maintes choses. J’y découvris notamment les sortilèges de la fellation. C’était autrement plus excitant que de se masturber dans son coin. Chaque jour nous prenions le prétexte d’aller tous deux faire les courses en ville pour toute la maisonnée. Au bout d’un kilomètre j’avais la queue sucée et branlée.Cette femme quinqua ne me cacha pas par la suite sa prédilection pour les jeunes mâles voire les puceaux. Loin de concevoir cette opération comme une corvée, elle se flattait d’en avoir déniaisée une cohorte dont certains lui témoignaient encore les années passées une reconnaissance. A cette professeure de français, mariée et mère de trois enfants on eût pourtant donné le bon Dieu sans confession. Point si jolie et avec un air revêche elle n’avait pas assez de mots durs pour les filles faciles et les mauvais garçons. Elle jouait ce rôle à la perfection.Elle avait cependant un corps remarquable avec de belles jambes et que louait son mari. Celui-ci au contraire de sa femme affectait d’aimer les plaisirs de la table et du lit. L’épouse s’en offusquait imitant bien la prude. Tout le monde se réjouissait de ce petit jeu entre eux dont je n’étais pas moins dupe que les autres. Un soir pourtant j’eus la preuve de la perfidie et dissimulation de cette femme. La Sangria aidant, elle s’installa en face à peu de mètres de moi et écartant ses cuisses, elle me laissa le loisir de détailler sa culotte claire et transparente.Tout le monde chahutait autour. Les regards et sourires qu’elle m’adressait à la dérobée ne me laissèrent pas avoir de doute d’autant que s’absentant un temps elle revint et me fit assez voir qu’elle n’avait plus de culotte. Je découvris en grand sa chatte. Elle me signifiait ainsi son désir. J’eus aussitôt un durcissement de mon sexe. Depuis deux jours nous faisions les courses le matin. Il me revint certains de ses propos et allusions. Notamment elle m’avait demandé si j’avais une amie. Cette salope ainsi m’avait testé et avait tâté le terrain.Heureusement il y eût un terme rapide à la soirée. Je songeais à elle sous le drap et me branlais. Je n’en appréhendais pas moins d’être seul le lendemain bahis firmaları avec elle. Je fus même tenté de singer un bobo pour être remplacé. Il sembla qu’elle prévint ma tentation car elle vint me chercher d’autorité devant ma mère me tirant par le bras et s’écriant : « Allez mon gars : « J’ai besoin de tes bras. Je suis pressée. J’ai d’autres courses pour plus tard. » Ma mère rigola n’y voyant pas à redire d’autant qu’elle se réjouissait que son amie directive secoua un peu son grand fils et dadais.Il y eût un silence entre nous le premier kilomètre puis elle rangea la voiture au fond d’un chemin. Avec le plus grand sérieux elle demanda si elle me faisait peur. Sans la regarder et dodelinant de la tête je lui signifiais : non. A ce moment sa main vint à caresser l’endroit du bermuda où pouvait affleurer bientôt la bosse caractéristique. En un tournemain elle extirpa mon sexe commençant à le branler. J’eus droit ensuite à la première pipe de ma vie. Une révélation que j’évoque ici avec une profonde et sincère nostalgie. Nous nous dévorâmes la bouche. J’étais conquis.Mes dernières préventions s’envolèrent. Enhardi je lui caressais les cuisses et les seins. Elle affectait en riant de me repousser. « Petit cochon. Tu apprends bien trop vite ! » Dans l’herbe au pied de la voiture sur une serviette hâtivement jetée elle me donna mon premier cours où entre ses cuisses je pus la besogner et accéder au saint des Saints. Le premier essai malhabile, je pus me ratt****r par la suite. Elle m’initia notamment à la prise en levrette qu’elle adorait. Plus tard je fus impressionné de devoir « l’enculer » pour reprendre son terme ce qui en sa bouche détonnait.Un jour elle me jeta en riant : « Tu peux me dire. Je n’en serais pas choquée car je le revendique : Je suis une fieffée salope. « Je fus subjugué par cette femme au point d’en tomber amoureux. En effet je lui fis une scène un matin après lui avoir fait admettre qu’un gars la veille l’avait pu culbuter derrière un rocher. Elle expliqua avec raison et d’un ton sentencieux qu’elle était une femme libre et qu’un morveux comme moi ne pouvait disposer de son cul. J’apprenais cruellement. Le métier rentrait. Mon instinct me disait de jouir au plus vite d’une telle opportunité .Je fus triste de devoir la quitter. Elle habitait à vingt kilomètres de chez moi et elle consentait presque par charité de venir me chercher parfois en voiture pour aller baiser dans les bois. Elle avait depuis conquis d’autres jeunots et dépucelé à tour de bras. Je compris qu’il me fallait voler de mes propres ailes. J’avais à cet égard gagné en assurance. Les filles de mon âge me paraissaient insipides. J’avais mordu à la chair. J’y décelais comme un aspect de vice et de débauche. Le sexe plus que l’amour m’attirait.En ma classe il y avait un gars admiratif de moi. Sachant mon fort besoin de sous et que je prodiguais un peu partout des cours de maths, il trouva bon que je vienne sous son toit kaçak iddaa dispenser un peu de mon savoir. Je ne lui trouvais pas tant de lacunes. Il n’en sut pas moins convaincre son père notable et plein aux as. De toute façon nous jouerions davantage aux jeux vidéo plutôt qu’à résoudre des intégrales. L’idée me parut bonne. Ce n’était pas un type que j’appréciais mais l’idée du fric l’emportât. Le hasard nous fait souvent la courte échelle.Je découvris à l’occasion sa mère. Une jolie femme bien faite et ronde. Elle avait l’âge idoine. Près d’atteindre les cinquante ans. Elle en paraissait moins. C’était une sportive. Il était patent qu’en coquette assumée elle voulut demeurer jeune. A cet égard je ne fus pas peu surpris de ses tenues courtes et sexy. Elle n’avait cure du regard réprobateur des femmes et semblait goûter les regards vicieux des hommes. Elle eût sans ambages des mimiques de séduction vers moi. A dessein elle ralentissait le pas et me jetait maints regards mystérieux et équivoques.Cela n’était point nécessaire car je fus d’emblée subjugué. A ce physique débordant de sensualité, elle ajoutait un esprit des plus incisifs et mutins. Elle ne fut pas dupe du peu de nécessité des cours. Elle devint de facto notre complice. Nous ne fîmes plus semblant et passions des heures devant les écrans d’ordi ou de télé. Cependant je n’avais de cesse de regarder quand elle passait et des fois se baissait devant moi. Elle faisait montre de sa culotte. Son jeu était flagrant. Elle s’arrangeait que son fils ne fut là. C’étaient autant de signaux vers moi et pour m’éprouver.Me branlant je me mis dans la tête que je pouvais avoir cette magnifique femme. J’avais pas mal évolué depuis. Mes anciens copains ne m’eurent pas reconnu. Plus rien de l’ado emprunté et pataud d’avant. Je fourbis vite un plan grossier et simple pour être en tête à tête avec ma Dulcinée. Ainsi fis-je semblant de me tromper de jour de rendez-vous sachant que le copain ce jour-là était à son tennis. Le cœur battant je sonnais et témoignant de ma méprise, je me ravisais et tournais déjà mes talons. Il eût été dommage qu’elle ne me retint pas.Elle me dit de sa mignonne voix que je pouvais rentrer et partager un peu de son café avant de partir. Je savais qu’elle faisait cela souvent avec les voisines. Ainsi pouvait-on concevoir qu’elle trouva opportun que je pus à ce moment lui tenir compagnie. Elle avait une mini jupe en cuir qui étalait ostensiblement ses belles cuisses. Des mules ouvertes et à talons hauts exhibaient entre autres le vernis rouge de ses jolis ongles. J’eus du mal à cacher mon émoi. Elle sourit et triomphait. Je n’en étais pas moins aux portes du paradis dans cet instant.Elle fit mine de s’enquérir des progrès de son fils. Mi-sérieuse elle me demanda si celui-ci assurerait ses épreuves de maths. Je protestais que je n’en doutais pas. Pris d’un soudain scrupule, je comprenais que je leur piquais du fric ce sans une équitable rétribution. kaçak bahis Elle perçut ma gêne et tint à me rassurer. Elle me demanda par ailleurs si j’avais des hobbies. Candide je lui avouais que j’étais à l’âge où l’on s’ennuie. Sans crier gare elle demanda si j’avais une amie. Je rougis. Elle sourit. Mutine, elle me souffla qu’elle pourrait me présenter plein de personnes de mon âge.A ce moment elle croisât haut ses cuisses accentuant le battement d’un de ses pieds au bout duquel chancelait une mule toute prête à choir. Un silence s’installa entre nous et mon regard dut alors paraître hypnotisé par la fébrilité de la mule. Je n’eus pas conscience de l’inconséquence du geste ou de mon comportement. Sa voix soudain me tira de ma rêverie redoutable. « Je te plais ? » Je ne m’attendais pas à cela. Je balbutiais baissant les yeux. « Trouves-tu ma question inconvenante ? » J’étais assiégé par la panique et cherchais mes mots.Relevant la tête, je vis qu’elle avait un regard empli de quelque chose de trouble et de l’ordre du désir. Elle poursuivit : « T’es bien bâtie. Tu fais plus que ton âge. Fais-tu du sport ? » Je lui répondis qu’un temps j’avais fait un peu de foot. Nantie du même sourire, elle fit alors le geste que je vienne m’asseoir près d’elle. Elle trônait radieuse sur son divan. A la façon d’un somnambule mon corps se souleva pour me porter près d’elle. Son corps était chaud et saturé d’un lourd parfum. Il ne s’agissait plus de rêves mais de la réalité.Elle passa une main dans mes cheveux. Peu après nos lèvres se collèrent. Nos langues forcèrent le passage pour s’entremêler. Je retrouvais les anciens gestes de l’été. Ma main parcourut la chair infinie des cuisses flirtant avec la matière lisse de sa culotte. J’y percevais une chatte chaude et humide. Elle se laissa peloter avec une rare complaisance. Soudain prise de frénésie elle jeta loin sa mule s’agenouillant. Je fus immanquablement sucé. D’un rire mutin elle clama : »O la belle bite ! » Je ne fus pas peu étonné de sa bouche avide et de sa gourmandise impérieuse.Avec la même audace elle me prit la main m’entraînant dans la proche chambre d’amis. Je songeais que son fils eût pu revenir d’un moment à l’autre ou que l’une des voisines sonnât. Elle n’en avait cure. Nous baisâmes une heure durant. Je n’avais rien perdu de ce que j’avais appris depuis peu. En néophyte je voulus lui montrer qu’elle ne perdait pas au change. J’étais un homme et j’allais la prendre et la baiser comme il faut. Nous nous retrouvâmes haletants et heureux à contempler le plafond. Nous sortions tous deux vainqueurs de ce combat.Mi-sérieuse, elle me souffla : « Tu t’es débrouillé comme un chef. » Il fut convenu que je viendrais à certaines heures. Nous fûmes amants durant un an. J’eus du mal à combattre ma jalousie. Elle avait d’indéniables besoins sexuels que je ne pouvais à moi seul assouvir. Son époux ne la touchait plus. Elle me concéda avoir d’autres amants. Elle n’en voulut dire davantage ce qui augurait qu’ils pouvaient être nombreux. Ce fut le seul nuage dans notre ciel bleu. C’est elle qui avec tact me convainquit d’arrêter notre relation. J’avais grandi entre ses bras. Aussi acceptais-je.

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