Coquine malgré elle

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Babes

Coquine malgré elleA.MoiMes parents m’ont élevée dans la tradition, leur tradition…D’un niveau moyen, mère enseignante, père salarié d’un cabinet comptable national, en charge d’une clientèle de professionnels à haut rendement.Son salaire était à l’avenant, nous ne manquions de rien, sauf d’un peu de tendresse….Maman nous en donnait, à mon frère et à moi, mais père était avare, plus par manque de temps que par manque d’intérêt… Les rares fois où il nous emmena tous les deux sans maman, se comptent sur le bout des doigts, visite de zoo, ou de parc d’attraction pour enfant pendant que mère vaquait à ses occupations, un mystère…Mère était jolie, blonde d’aquitaine, peau de porcelaine, je lui ressemble un peu, sauf les yeux verts pour ma pomme et bleus pour elle, elle les avait donnés à mon frère ainé…Plus âgé de 3 ans, il avait quitté le nid très tôt, et pour moi ce fut un déchirement, que je ne montrais pas, par peur de représailles…Il avait été banni, car parti pour une fille, très jeune comme lui, à l’étranger, voulant fuir notre province arriérée…Il y réussit au bout de cinq ans, marié, un enfant, ingénieur agronome, il aimait la terre, mais pas la nôtre… Il était en Australie….Moi, je vivais ma vie de cadette devenue ainée, étudiais patiemment, jusqu’au bac, puis fac de droit et école de commerce, ce qui faisait rire papa… Commerce de quoi ? De ses charmes ? Elle n’en n’a pas !On comprend pourquoi il était aride de câlins…C’était dit et redit, mais dans la plaisanterie. Maman le grondait chaque fois, mais il avait autre chose en tête, car le week-end, le football occupait ses pensées, quand ce n’était plus son travail.Quand il approcha de la soixantaine, sa passion empira.Il n’était plus souvent là, peur de la retraite ou un autre intérêt ? Maman le laissait faire, n’étant pas au courant…Je rencontrais Jacques, le fils d’un de ses anciens collègues, anti-foot de nature, il passait le dimanche chez nous, pour mon plus grand plaisir, il aimait la nature, la mienne aussi…Vers 15 ans il était déjà grand, fort, beau dans mon cœur, il était mon seul lien avec le monde extérieur. Il m’expliquait la vie, les gens, les arts, le théâtre, le cinéma, la musique dont il était friand.Je le suivis plusieurs fois avec ses copains, dans des concerts en plein air, je trichais sur mon âge, au grand dam de maman qui s’inquiétait pour ma virginité…Cela dit, c’était fait depuis longtemps, dès les premiers concerts, dans la tente Quechua 2 places…A 17 ans, je prenais la pilule, car nous étions passés à une tente huit places pour plus de liberté et surtout plus d’espace… Il y avait Solange, copine de Lycée, qui flirtait avec Bart, Meredith la plus jeune, c’était Victor, nous étions inconscients, fumions comme des pompiers, buvions de la vodka, chaque couple dormait dans un duvet deux places, c’était la panacée…Maman s’en doutait bien, que je n’étais pas sage, mais elle ne disait rien, j’étais à son image…A dix-huit ans je passais mon permis, papa récupéra la voiture d’un ami, j’allais en fac en bagnole, revenais le vendredi… Samedi, hop ! Je me levais la première, Jacques passait me chercher, jusqu’au dimanche où je rentrais tôt dans l’après-midi… J’essayais de passer quelques heures avec eux, maman, et papa quand il rentrait essoufflé, sans voix…Moi, j’étais éreintée, les oreilles pleines de watts, la chatte pleine de souvenirs…Je m’endormais souvent devant la télé, je repartais au matin, tôt, avant les embouteillages.Jacques était bon amant, et depuis quelques mois, nous baisions tous ensemble, ça simplifiait nos rapports, nous étions devenus libertins, Victor conduisait un Van sept places rose et vert, il nous pilotait partout autour de Paris, on militait pour l’écologie…La drogue ? Oui, un peu. Certains samedis soir, on restait entre nous, mais d’autres jours, on laissait nos fantasmes aller de ci, de là… On faisait la fête, en choisissant nos rois…Solange et Meredith partaient à l’aventure et revenaient au matin, des cernes sous les yeux, leurs robes froissées, déchirées quelquefois, et elles me racontaient, leurs amis de rencontre, italiens pour la drague, des allemands pour le sexe, des belges pour la langue, des anglais avec leurs copines et qui les initiaient… Elles aimaient la bite, s’en donnaient à cœur joie dans les tentes voisines, elles parlaient des lesbiennes anglaises, elles adoraient se vanter, elles me firent essayer, je sentis du plaisir, et ouvris mes fantasmes à ce genre de sexe…Jacques, me voyant m’éloigner, partit de son côté, ramenait ses conquêtes, que j’aimais partager… Alors j’ai suivi et j’ai fait comme mes amies, plongeant dans le plaisir, sans frontière, sans limite… Je ne passais plus voir mes parents, je laissais ma voiture au bahut…B.MamanUn vendredi, j’étais libre… Je rentrais chez eux, maman ne m’attendait pas…Elle était toute rouge, balbutiait de surprise en venant m’embrasser, comme une enfant prise la main dans le sac… J’entendis du bruit dans la chambre… Un homme s’habillait, elle me le présenta en lui disant aurevoir… Pas besoin de sous-titres, un ami de papa, qui passait par hasard, et puis d’une chose à l’autre…Elle se confia à moi, elle se mit à pleurer… Elle était cocue, papa et son foot sortait souvent le soir, il allait dans un bar regarder la télé privée, avec ses copains, ou jouer au poker, boire ou tirer des coups, il revenait très tard… Elle ne supportait plus, de vivre en recluse, il ne la touchait plus, elle avait besoin de quelqu’un pour se calmer…-Ne te justifie pas, tu fais bien, moi aussi, j’ai mes moments de relâche, avec mes copains, je sors souvent pour ça, en semaine, le samedi, on fait la fête…-Tu as un amant ?-Ils sont tous mes amants, c’est fini le temps de faire la cour, pour faire l’amour au fond de la voiture, les genoux dans le tableau de bord… Maintenant on baise dès le premier baiser, avec plusieurs hommes dans la même soirée et parfois avec des femmes, pour nous réveiller, vivre nos fantasmes, sans se poser de questions… Fais-le avec ton mec, baise à qui-mieux-mieux, prends ton pied, fais l’amour, sans autre pensée que vivre ta vie de femme, t’éclater avec lui s’il te fait bien jouir et avec d’autres si tu te sens en manque, c’est du plaisir, maman, vraiment, comme manger une glace… Goûte à la sodomie, aux femmes, apprends à séduire, à jouer de tes charmes, fais-toi des copains, des copines, envoyez-vous en l’air comme des messalines…-Tu exagères, je ne fais pas cela… Juste normalement, ton père et sa morale sont trop ancrés en moi… Moi je n’étais pas contre, il n’a jamais voulu essayer par l’arrière…-Maman devient vulgaire ?-Je sais être salope, m’habiller pour le faire, draguer partout en ville, et me faire lever pour aller à l’hôtel et baiser sans remord. Le faire cocu, m’en prendre plein la chatte avec son ancien collègue, le sucer à loisir, avaler son sperme, c’est mon plus grand plaisir… Mais c’est tout, le reste je n’ai jamais osé, ou dit oui, par peur de souffrir…Aujourd’hui, je lui ai donné rendez-vous, il connaissait l’adresse, ton père est à Londres toute la semaine. La première fois on était à l’hôtel, je n’étais pas tranquille, je suis partie sans rien faire. C’est la première fois qu’on se rencontre ici, c’était mieux, j’ai joui… Il est tendre, gentil, patient… C’est ma seule incartade… Les femmes je ne sais pas, c’est loin dans mon souvenir…-Les femmes c’est la douceur, la tendresse, on se lèche la chatte, on se masturbe ensemble, on se frotte, on jouit et on a encore envie, alors on recommence, on fait le tour de nos désirs secrets, puis parfois on prend un jouet pour compléter la chose et vibrer de concert… J’ai goûté à deux hommes, un devant, un derrière, c’est chaud, c’est magique, on jouit très fort, des instants idylliques… Si tu veux, tu es belle dans ta cinquantaine, tu plais j’en suis certaine, tes amants t’adoreront, je peux t’en présenter, te guider dans ce sexe, dans ces expériences, qui font peur aux novices, mais tu verras, quand tu prends ton pied, tu deviens une femme, une vraie, sûre d’elle, avec des griffes de lionne, sans jamais regretter… Papa est un menteur, tu es libre de ton corps, baise avec des loups, tu l’oublieras très vite… Pour ma part, je m’en fous, j’ai tracé mon chemin, et me suis mise en route, je travaille en septembre, je n’ai plus besoin de vous, juste de ta tendresse qui m’a beaucoup manqué…Elle pleure dans mes bras, elle regrette ses choix, mais n’est pas contre découvrir un autre monde, autre chose, une nouvelle la vie, elle aime faire l’amour, elle vient de jouir, c’était la première fois qu’elle se donnait à lui…Le week-end suivant je viens la voir, j’ai apporté mon portable, je lui montre ce que regardent les ados, les sites de rencontre, le monde d’internet, le bon, et le mauvais, elle en est horrifiée, découvre les gros plans, les sexes érigés, les positions prisées, d’autres encore plus intimes, délurées, des femmes entre elles, des couples, des orgies, des rapports en série, des cris, des râles d’un autre monde, qui ouvrent son esprit… Elle me pose des questions, elle a vu une bite énorme, impensable car de couleur noire, cela doit faire mal… J’explique patiemment, oui, j’ai connu ces plaisirs, il faut passer partout quand on découvre le sexe… La taille est un critère, mais le plus enivrant c’est comment on s’en sert. J’ai vécu des expériences où la taille n’était pas l’essentiel, l’homme doit savoir provoquer ton désir, t’amener à franchir chaque étape, t’accompagner jusqu’à cette extase, cet orgasme irréel, qui t’envahit les tripes du sexe jusqu’aux cheveux, et tu cries de plaisir, tu vibres de tout ton être, tu te vides la tête, accédant au bonheur d’un corps enfin libre…Ce soir elle est d’accord, rencontrer d’autres hommes, jeunes et moins jeunes… Avec aydın escort ce qu’elle vient de voir, elle a senti une certaine ambiance, que son ventre puritain demanderait connaître, un émoi différent que l’amour papa-maman, comme elle vient de le faire avec son amant, mais en plus libertin, voire plus coquin…Nous parlons chiffons, toilettes, sous-vêtements, esthétique, manucure, épilation du corps…Elle montre sa tonsure, je lui montre mon corps, rasé de pied en cap, juste une légère ombre sur un pubis de jeune femme sensuelle…-Tu es très jolie, ton corps est superbe… Le mien est distendu par mon accouchement, même avec ces années, plus quelques kilos en trop, des rides avec l’âge, qu’il faut dissimuler si je veux donner le change…-Maman, le but n’est pas que tu me ressembles, c’est rentrer dans la danse en offrant ce que tu as, ton désir de sexe, à des hommes là pour ça… Juste du sexe, pas de sentiment. Il te plait ? Tu te laisses faire, tu baises et puis basta, tu passes à la suite… Essaie au moins une fois, je ne serai pas loin, j’aurai un œil sur toi, tu ne risqueras rien, mes potes sont gentlemen, et il y a le choix, jeunes ou moins jeunes ils ne cherchent que ça…Je lui désigne sa chatte, galbée dans des dentelles, un soutif assorti, mon dieu, qu’elle est belle… Une robe courte, un peu évasée, serait un très bon choix… Un peu d’épilation ferait aussi l’affaire, nos amants aiment nos coins secrets, aiment le naturel d’un abricot sans poils… Nos aisselles rasées attirent moins les yeux, et nos cuisses lisses attirent leurs mains complices…Hélas, Papa n’aimait pas le vulgaire, le provoquant, l’imaginaire, juste le bienséant et le contractuel… Un tue-l’amour sans charme…Mais là, il faut oser, repousser les limites, montrer la marchandise pour choisir à son tour…Une heure plus tard on sort d’une boutique, avec 2 robes parfaites pour draguer, coquines et flashy, un haut un peu ouvert, des escarpins rouges, avec le maquillage rajeuni cela va les faire bander…L’esthéticienne la prend immédiatement, un coup de chance, on ne s’en prive pas, elle fait le nécessaire, une demi-heure plus tard, je ne la reconnais pas, pas une ride, pas un pli, un ventre de poupée, sa Sloggi la sublime, elle est à croquer, ce dont la jeune femme, ne se priverait pas, à voir ses yeux dans les siens…On se dirige vers le centre, à pieds, nous passons quelques bars, puis je me souviens d’un établissement discret, genre club privé, on m’en avait dit du bien il y a quelques années…Lorsqu’il nous aperçoit, la porte s’ouvre en grand…-Je ne vous connais pas, mais vous êtes les bienvenues, en vacances sans doute ?-Oui, pour quelques jours, nous aimerions nous distraire en toute sécurité, avec de la bonne musique, faire bouger nos corps, nous sentir en vacances, nous faire des amis…-Pas de soucis, désirez-vous un vestiaire, une table bien placée, de quoi commencer à vous hydrater ?-Oui, un vestiaire, et à boire, près de la piste mais pas trop en vue… Nous sommes timides, surtout au début…-Ne le soyez plus, vous êtes charmantes toutes les deux, et nos clients, sont des habitués qui aiment la musique, l’alcool millésimé, et les belles filles, ils vont vous adorer. S’il y a le moindre souci, je suis derrière le bar ou pas loin, venez vous plaindre, je veux que tout se passe bien… Ah, et aussi, nous faisons des cadeaux à nos meilleurs clientes, si elles se font offrir à boire… Vous me comprenez… De plus, je connais tout le monde, ou presque, il sera facile de trouver chaussures à vos pieds, dites ce que vous aimez, je serai à vos ordres…-Mon dieu, quelle aubaine, je me sens très flattée… Nous venons pour nous distraire et ne savons souvent pas nous arrêter… Vous nous mettez en confiance, je commence à adorer !-Suivez-moi, je vous accompagne chez vous…La lumière est avare, le temps de s’acclimater… Des couples dansent, de la house, du reggae, de la soul, un peu de tout…Le temps de nous remettre, de goûter nos cocktails, je pars sur la piste, elle me suit en riant…Elle fait sensation, elle a rajeuni de 15 ans… Elle se trémousse comme si elle n’avait jamais quitté le dancefloor…Quelques garçons viennent nous entourer, dansant avec nous, maman me sourit, elle ne pensait pas que ce soit si facile… Mais quand je la vois se trémousser, avec un beau garçon de 20 ans son ainé, faire quelques passes de rock avec l’un, puis avec un autre, mettant de l’ambiance, attirant quelques couples, des filles dénudées, sans complexe, qui tournent autour de nous, en se déhanchant devant nous, je suis emportée par l’ambiance et me mets à les imiter…Le DJ, regardant la scène sent l’ambiance monter, les hits se succèdent, les commandes pleuvent, les hommes s’excitent à nous regarder nous écheveler, la poitrine en délire, les fesses balancées, mimant rien de moins qu’un orgasme, qu’ils viennent partager…Quand la musique devient plus tendre, nous sommes prises d’assaut, des bras s’ouvrent devant nous, pas question de regagner nos places…Le mien a la trentaine, un peu plus grand que moi, un sourire enjôleur, des dents d’une blancheur qui attirent l’œil… Il se présente, Jo, animateur dans une radio locale, il aime les musiques et les jolies femmes qui mettent de l’ambiance, ici, c’est idéal… Il parle de son métier, de ce qu’il entreprend, orchestre, tournées, DVD, et TV… Plus tard si dieu le veut…Il me serre dans ses bras quand la chanson se fait douce, maman est comme moi, dans les bras d’un brun charmant qui lui parle en souriant, la draguant sans aucun doute…J’ai soif, envie de m’arrêter, besoin d’intimité et d’aller aux toilettes… Il me remercie pour ces quelques minutes, maman me poursuit, on entre dans les WC…-Alors, ça te plaît ?-C’est super, je m’amuse comme une folle, des années que je n’avais pas dansé comme ça, ton père préférait la télé. Ces musiques nous emportent dans des rythmes invitant aux voyages, au rêve, des ambiances délassantes, une envie de toujours… J’ai failli l’embrasser, tu as été plus rapide…-Tu aimerais sortir avec lui ? -Pas encore, juste flirter un peu, le temps de se connaître, pour voir si on s’entend…-Et si ça colle ?-Je me sentirai en sécurité si tu nous accompagnes avec ton soupirant… Ton danseur semblait très attiré par tes courbes, qu’il suivait de ses mains…-Cela me tente bien, mais je pense à toi… Cela te dérangerait si je rentre seule ?-Non, bien sûr… Tu penses à quoi ?-Te regarder, le surveiller…-Le partager aussi ?-Oh, on n’en est pas là, mais possible, se faire baiser toutes les deux, comme deux chiennes en chaleur… Mais je ne veux pas que ce soit tabou…-Oui, nous regardons l’autre, sans participer… On le dit que nous sommes mère et fille ?-Non, pas de scène prêtant à confusion et puis cela ne me tente pas… Te regarder danser dans des bras inconnus m’a ouvert l’appétit… Mais pas te toucher, tu es sacrée, moi aussi…-Je l’entends bien comme ça, comme frère et sœur…-Ouais, bien que mon frère, il ne se gênait pas pour entrer dans ma chambre ou dans la salle de bains et me reluquer, la bite à la main !-Non ?-Si… Ton protégé avait le sexe facile, un soir on a flirté, par jeu plus que par vice, et j’étais à deux doigts de lui ouvrir mes cuisses et le prendre en moi, tant j’en avais envie…-Oh, tu ne m’as rien dit…-C’était ma faute, je l’avais vampé, un peignoir mal fermé, juste après la douche, il n’en fallait pas plus pour le mettre en route… Je l’ai surpris plus tard, un dimanche, avec la voisine, la prenant au garage, sur l’établi, la robe ouverte, les seins pendants, la chatte en folie, il la faisait jouir, ils ne pouvaient entendre, elle gueulait son délire, jusqu’à se faire prendre… Ils se sont embrassés longuement, je me suis éclipsée… -Marielle ? L’ancienne femme de Robert ?-Oui, et ça ne m’étonne pas que le couple explose peu après… Il la faisait cocue, c’était de notoriété, alors elle se vengeait, mon frère était beau, sain, sportif, elle devait se régaler…-Je suis folle…-Pourquoi ?-J’ai envie de faire l’amour ce soir… Pour me venger moi aussi, je pensais qu’elle était la maîtresse de ton père…-Oh, ça n’empêche rien, tel père, tel fils… Cougar sans doute, elle a plaqué son mari et ses amants d’un coup…Maman se fraie un passage jusqu’à la table, nous reprenons nos boissons préférées, écoutant la musique, nos jupes relevées…Mon danseur m’invite de nouveau, je lui dis que nous avons très chaud et qu’il peut s’assoir le temps qu’on récupère et que l’on se rafraichisse d’un bon verre…Celui de maman a compris et s’invite à partager notre table, et sa bouteille de whisky. Je pense que les deux se connaissent…Je ne peux résister à un slow démoniaque, maman se laisse emporter dans les bras accueillants… Il cherche à m’embrasser, j’use de subterfuges, je lui dis franchement que je surveille ma cousine, elle n’a pas l’habitude de boire comme ça…Maman va se rassoir, et je les vois se pencher l’un vers l’autre, elle flirte avec lui, en échangeant caresses et baisers…-Vous voyez, elle a craqué, manque plus que nous…Je ne peux décemment, les déranger… Je réfléchis, allez, il est gentil… Son baiser est très tendre, ses mains entreprenantes, on est ici pour ça, mes seins sont en émoi, adorent les visites, je vais craquer si je n’y mets bon ordre…Je freine ses ardeurs, reprends un air moqueur, il me fait rire, maman me fait un signe…Je coupe son exploration méticuleuse et discrète de mon soutien-gorge, et l’entraîne à notre table…-Voici mon amie et son copain, voici mon danseur Samuel, qui me fait rire avec ses blagues coquines…-Bonsoir Samuel, moi je suis Annie, une collègue de travail de Coco, nous sommes sorties pour nous amuser ce soir, et vous aussi, je crois ?-Oui, exact, nous cherchions une âme sœur, et nous voilà réunis tous les quatre !… Moi c’est Andy, Annie me plaît beaucoup et comme c’est escort aydın réciproque, on va continuer à faire connaissance dans un endroit plus calme…-Ma villa n’est pas loin, au calme, nous serons bien si cela vous agrée…-Si tout le monde est d’accord, nous sommes venues avec ma voiture, je vous emmène, vous en avez une aussi ?-Oui…-Et moi aussi, on vous suit…-Il n’y a pas de soucis de stationnement, je suis dans une impasse, avec de la place…-Bof, finalement, si tu me ramènes après, je veux bien vous accompagner, je suis bien garé ici…-Alors moi aussi, au diable, je prends le risque de monter avec une blonde…Il monte derrière moi, et maman aussi, laissant la place de devant à mon amoureux…Le temps de démarrer, de prendre la route, maman, a disparu de mon rétroviseur, penchée sur son voisin, aucun doute, elle attaque bille en tête… Mon voisin me sourit, il a vite compris, je glisse une main vers lui et trouve sa braguette…Je conduis doucement, sans changer de vitesse, la route est droite, je savoure son engin, qui prend toute ma main…On entend des soupirs, j’arrive à me tourner, sa main est dans ma chatte, j’ai hâte d’arriver…Voilà, on tourne à droite, on monte jusqu’au bout, on tourne dans l’impasse, arrêt de l’auto !…Je descends la première, on suit notre guide… Annie, ma cousine, ce n’est pas banal, vient de sucer son danseur…Elle nous fait rentrer au salon directement, se charge des boissons, coca, whisky, bières, jus de fruits, vodka, eau plate…Elle nous sert et met de la musique, maman se lève pour danser, nous suivons ses désirs, la lumière s’éteint, il m’embrasse aussitôt, recréant l’ambiance de la boîte, ses mains virevoltent, cette fois c’est la bonne, il tâte aveuglément, me serre dans ses bras, je ressens son émoi, je libère ma poitrine, regarde ma voisine, qui est dans le même état, poitrine dénudée, robe échancrée… Elle retire tout ça, puis s’assied dans le canapé, désirable et offerte, invitant son ami à goûter son calice…Je sens ma chatte manifester son désir à mon tour, et nous faisons comme eux, dans l’autre coin discret, je suce son engin…J’avais vu juste, il devient énorme entre mes lèvres et dans ma gorge, il prend toute sa forme… Sa main dans ma culotte, découvre ma grotte, je lui ouvre la porte, il veut la savourer… On se met tête-bêche, on commence le jeu, nos soupirs se confondent avec ceux des voisins, de soupirs en râles, l’ambiance monte, je le suce longuement, il tourne mon bourgeon, je me retiens un peu, mais la caresse met le feu, je me donne…Il a entré un doigt, je suis en plein délire, quand un autre le rejoint, je ne réponds plus de rien, et mes cuisses s’écartent, mes râles retentissent, je lui montre que j’aime, alors il me prend en levrette, son dard droit dans ma chatte commence ses va-et-vient…J’aperçois maman, dans l’obscurité c’est dur de tout voir avec précision, on doit imaginer… Mais dans sa position, cuisses écartées, son ami qui la prend, au rythme des soupirs, les seins qui ondulent, et les râles qui arrivent… Je suis en retard…Samuel me lutine, son sexe semble se plaire, planter et replanter, je sens ses doigts venir m’exciter, entrer dans mon vagin et m’accompagner… Ensuite ce sont les seins qu’il vient masser, me rendant folle, je jouis amplement, délire mon orgasme, maman en est au sien, nos gémissements se croisent, nos amants se déchaînent emportés par l’ambiance et cette mixité qui les rend acharnés… Par de grands coups de reins, il vient de se faire jouir, je sens sa semence éclater dans mon ventre, réchauffer, exploser, il retombe sur moi, cherchant à m’embrasser…Du côté de maman, je n’ai que le silence, épuisée par l’effort, je m’endors dans ses bras…La nuit est sombre, la pièce est vide, maman et son ami sont partis dans la chambre…Quelques minutes de repos nous ont ragaillardis…J’entre dans la salle bains, maman prend une douche, j’aperçois son minou, elle ne m’a vue entrer… Elle continue sa toilette intime, à grand jet puissant, sur sa vulve écarlate, qu’elle ouvre entièrement…Elle est super gaulée, elle s’est rasée, la belle esthéticienne a fait du bon travail…Elle surprend mon regard, sursaute, puis sourit…-J’ai fait ce qu’il fallait, autant être moderne. Il a aimé ma chatte, à en perdre sa langue, mais j’aime aussi ses doigts, un pianiste émérite qui me fait du solfège et joue sur mon clavier… -Tu t’es donnée bien vite…-J’étais en manque, j’avais envie, et je ne sais pas trop freiner ma libido…-Oh, il faut que tu t’entraînes, peut-être avec des jouets, ils sont là pour calmer les désirs insondables des ventres des femmes…-Tu le fais ?-Oui, mais je me calme seule, c’est plus tactile, et efficace, certes, cela n’a pas la profondeur, ni ne remplace l’appareil génital d’un amant…-Tu es délicieuse avec tes mots choisis, j’ai aimé notre sortie, ta liberté d’expression, de comportement, tu es comme une amie de mon âge, tu me soutiens, tu me comprends, m’aides, et grâce à toi je viens de faire l’amour avec un nouvel amant… J’ai vu les étoiles, d’un rapport sexuel efficace et tendre, profond et sincère, et cette passion qui envahit mon corps qui me pousse à le refaire, jusqu’à épuisement… Orgasme sur orgasme, il m’a prise par derrière, ça l’a achevé, il dort et ronfle comme un tracteur… Et moi j’ai adoré, ressentir son membre dans mes endroits secrets, ce plaisir immoral, devient mon quotidien, j’aime tout ce qu’il m’a fait, et je veux le refaire toute la journée…-Eh bien, tu es accro, il ne va pas résister…-Je me sens en friche, j’étais abandonnée, je découvre des possibilités immenses, de la jouissance, qui vient nourrir mes rêves, refaire ma vie, avec un amant attitré, peut-être vivre avec lui, vivre enfin ma vie de femme, libérer mes pulsions, connaître enfin le sexe, le faire avec passion, sans limite, sans complexe, me faire d’autres amis…-Tu veux que l’on échange ? Sam est performant, l’échange dans ce cas, sert la libido des hommes, fantasme avoué, deux femmes dans leur lit…-Ensemble ?-Non, une entrée en matière seulement, juste je te présente, et dès qu’il est en forme, je m’éclipse et te laisse…Il est étendu sur le canapé… Il ouvre un œil conscient de sa nudité, et voit au-dessus deux nymphes dénudées…-Mais, oui… Je…-Chut, laisse-toi réveiller, on va s’en occuper…Son membre se redresse sous mes doigts, je me suis assise contre lui, maman, de l’autre côté, il n’ose la regarder…J’invite maman à partager le sexe et nos mains se chevauchent, il grandit à vue d’œil, et redevient énorme, comme quand je l’ai sucé…Quand maman se penche ses seins se penchent aussi, alors les mains de Sam viennent les honorer…La caresse la berce et allume le gaz, elle ressent déjà les effets du désir, le membre étant à point, pourquoi donc attendre ?J’invite alors maman à venir contre lui, se mettre à sa portée, en partageant ses charmes…Elle le suce doucement, tendrement, je ressens ce désir, cette complicité, je commence à couler, et elle aussi sans doute…Je l’aide à s’installer, position idéale, l’amazone affamée, prête à le croquer…Ecartelée, superbe, je l’accompagne du regard, elle se laisse descendre, en prenant son engin, elle pousse un petit cri quand le gland la franchit, elle en a tellement envie, qu’elle ne peut attendre, et se pourfend de cette queue immense, qui investit son fourreau en geignant son plaisir…La suite est évidente, une vraie cavalcade, elle se prend avec fougue, il la tient par les hanches, caresse ses mamelons, l’accompagne dans son acte, elle ondule et tremble, laissant venir l’orgasme, elle jouit devant moi, presque hystérique… J’ai deux doigts dans ma chatte et je me fais du bien, en regardant le couple atteindre des sommets… Je jouis doucement, elle me regarde, et me laisse sa place, j’en profite sans réfléchir, me transperce de son dard, pousse des cris aigus, j’ai un nouvel orgasme, je pleure de plaisir…On change de position, maman lui offre sa chatte assise sur son visage, Sam est comblé, il va se libérer, j’échange ma place avec maman, elle s’écartèle, il la prend en hussard, en jouissant en elle…Que de sexe… Que de plaisir… Libertin certes, mais avec les formes, jamais je n’ai goûté aux secrets de ma mère, juste partagé, la regarder s’ouvrir, et puis je suis partie, les laissant enlacés, pour un nouveau combat, j’ai entendu maman délirer son plaisir, débiter des paroles, vivre sa libido…Il m’a prise avec tact, doucement, me portant tendrement, je me suis laissé faire. Quand j’ai senti son sexe, je me suis activée, il m’a pénétrée, m’a fait grimper aux arbres avec tant de douceur que j’ai voulu lui donner la totalité de mes faveurs, feulant comme une chatte, quand il a pris mon cul….Il a éjaculé, me remplissant de sperme, que mon trou béant s’est mis à rejeter, il est allé quérir une lingette pour me venir à l’aide, je l’ai tant embrassé, qu’on a recommencé…Maman se reposait, dans les bras de Andy, elle nous est apparue, apportant des boissons…Puis elle est repartie, sans un mot, juste merci…Sam était rêveur, il reluquait ses formes, alors je l’ai prié de finir e beauté… Maman aime le sexe, il faut lui en donner, deux hommes avec elle serait un vrai sommet, dans cette découverte…Sam m’obéit, je le suis…Elle est belle, dans les bras de son mec, son abricot doré caressé par le mâle, négligemment ouvert, par des doigts très joueurs…Elle ressent la caresse, s’abandonne à ce bonheur, puis nous voit, joueuse, elle ajoute sa voix, lançant des vocalises, pour mieux nous exciter… Ma chatte s’en émeut, je pousse un peu le jeu, je fais signe à Andy, d’investir ma mère et de la partager avec mon ami, pour donner le coup de grâce, de cette petite orgie…Maman n’étant pas née d’hier, me sourit en passant sa langue sur ses lèvres… Elle se laisse faire, puis sodomisée, en y mettant les formes, et savourant aydın escort bayan l’entrée, puis accueillant le sexe au fond de son derrière, en criant de plaisir, jusqu’à la garde… Sa chatte grande ouverte, n’attend que l’autre sexe… Alors Sam s’aventure et la prend par devant, avec une facilité, tant elle est mouillée, ouverte, consentante, elle appelle les hommes à la faire jouir et livre une partition que je ne peux qu’entendre, je ne veux pas paraître une dérangée du sexe….-Oh, oui, mes amants de passage, prenez-moi tous les deux et faites-moi jouir, j’ai envie de connaître cette prise de concert, deux bites ensemble, je ressens ce plaisir… Allez, c’est ma première fois, emportez-moi dans les sommets du sexe, faites de moi votre putain du roi, oui, branlez-moi en même temps, je vais jouir je crois, oh, oui je sens l’orgasme… Oui ! Encore ! Donnez-moi votre sperme, déchargez, jouissez, videz donc vos vos couilles, mon mari m’a trompé, je me venge avec un duo, deux hommes bien montés qui me font monter au ciel, en me baisant à fond…Je les vois s’activer, chacun son orifice, à grands coups de bites ils explosent de plaisir, elle est malmenée, renversée, ses seins battent la chamade, elle jouit aussi, et moi je me masturbe, trois doigts dans mon vagin, un autre dans mon cul…On se libère ensemble, rugissant nos délires, je rejoins Samuel qui arrive à me prendre, je le suce avec fougue, lèche les quelques gouttes, je me fais exploser ! Andy vient me finir et je sens me prendre, chacun d’un côté, leurs sexes entrent en moi, le plaisir est immense, je ne crois pas le faire et pourtant je jouis, ils ont rebandé et me prennent en duo, comme avec ma mère, et ce jusqu’à l’orgasme que je ne maîtrise plus…Bien plantée par les deux sexes, ivre de caresse, les deux hommes me caressent, Sam suce mes seins, Andy lèche ma chatte…Mon dieu mais quel bonheur que de se faire prendre par deux hommes qui cherchent le plaisir de la femme, sans vulgarité, juste un délice, je suis sur mon nuage, et maman me regarde, perdue dans ses pensées…Ils partent vers 07h00, maman les accompagne, elle revient une heure plus tard, décoiffée, la robe déboutonnée…-Ils m’ont caressée dans une voiture de luxe, ils sont déconcertants, au fait ils t’embrassent, voici leurs portables, je suis exténuée… Je ne l’ai plus revue d’un moment, prise par mon travail, une collection nouvelle m’accaparait, de nouveaux clients à choyer, etc…Je restais ainsi quelques semaines en jachère…Me contentant de quelques visites manuelles à ma source, et d’images à sensations sur mon site préféré…Je passais chez maman, bien qu’ayant téléphoné plusieurs fois pour prendre de ses nouvelles. Mais comme souvent pour les gens de l’âge, le téléphone n’est pas son confident…Elle a fait à dîner, nous mangeons de bon appétit et elle me raconte ces dernières semaines…Après notre envol, surtout le sien, vers les sommets érotiques du monde du plaisir, elle comprit un peu tard qu’elle avait raté beaucoup de choses avec un mari qui la délaissait, ne communiquait plus sur ses problèmes intimes, ses besoins…La société et les mœurs avaient évolué depuis leur mariage, nombre de leurs amis s’étaient mis à la page, sans les y convier… Elle comprit ainsi certaines attitudes, des demandes masquées, des allusions diffuses… Tant pis… En particulier, elle se souvenait d’un anniversaire, où une des invités, qu’elle connaissait bien, avait fait un pas vers elle, lui tendant une perche, qu’elle avait refusé…. -C’était un soir d’été… Un barbecue avec nos proches et quelques amis, nous étions une trentaine depuis midi… Jeux de boules, piscine, la journée avait été très festive et nous prenions le frais dans le jardin, en maillot de bain, nous bavardions sur les hommes avec mes amies Lola et Julie et mon neveu de Nîmes, ton père servait à boire… Les enfants jouaient dans la maison, certains étaient couchés…Parfois on entendait un plouf et quelques éclaboussures venaient nous rafraîchir…Je parlais avec Julie, une amie de longue date, nous nous sommes retrouvées dans le fond du jardin, discutant sans faire attention… Là elle s’est mise à me prendre par la main, me regarder de façon insistante, sa bouche s’avançait… J’étais tétanisée… Elle me disait que j’étais belle en maillot, que maintenant la vie offrait plus de distractions, de liberté de mœurs, que quand on était jeunes… J’évitais adroitement le contact de ses lèvres et la serrais contre moi, mes seins contre les siens… Je ressentis sa chaleur, elle caressait mon ventre…Elle m’avoua à l’oreille, qu’elle trompait son mari, qu’ils le faisaient ensemble depuis quelques temps, avec d’autres amis, et que si je voulais, avec ou sans ton père, je pourrais les rejoindre, une expérience intime… Elle me parla de ses ressentis, de sa sexualité qui avait décuplé, une façon agréable d’améliorer son couple, que je devais essayer aussi, surtout avec des femmes, c’était du pur plaisir… Sa main se faufilait, je ne voulais pas faire d’esclandre, surtout qu’au fond de moi…Je mis les choses au point car avec ton père… Elle en fut déçue, j’étais au bord des larmes… Elle me serra contre elle, me comprenant… J’étais victime consentante, comme elle, avant… Un baiser dans mon cou m’électrisa, j’en ressentais les effets partout, en regagnant la villa…J’ai regretté, j’aurais dû accepter une fois, et y aller sans lui…Surtout pour cette nuit-là, elle était très jolie et tendre à la fois, j’avais été à deux doigts, de lui rendre ce baiser délicat…Je n’en ai pas dormi, mais ne le lui ai rien dit…Maman est comme ça, entière, pleine de charme, sentimentale, fidèle, jusqu’à ce qu’il la délaisse…Un jour, elle rencontra Julie en ville…C’était il y a quelques semaines…Julie vit à sa mine que ce n’était pas la joie…Elle parla de son couple, de son mari volage, elle n’avait plus de doute…Julie avait du tact… Elle l’invita à en parler dans un bar, elle avait l’expérience, elle avait divorcé une fois, elle était très jeune, mais les choses sont très claires… -Il faut repartir, et vite… Réagir est essentiel dans ces moments de doute, sinon, tu vas te perdre… -Tu es belle, et tu verras, tu renaîtras comme un Phénix, je suis passée par là !… Seconde vie, second choix, elle était persuasive…Maman l’invita à déjeuner chez elle… Cela la semaine passée… Julie accepta avec joie…Elle repensa à cet anniversaire et ce petit coin discret, dont elle apercevait le sentier… Elle lui en parla… Maman ne pouvait plus…-Tu sais, j’ai regretté de t’avoir laissée partir sans te rendre ce baiser si tendre…-Il n’est jamais trop tard…Elles se retrouvèrent au même endroit, quelques années en arrière et ce qui aurait pu se passer il y a des années arriva…Le baiser fut brûlant et maman sentit cet émoi pour son amie, cette tendresse, ce non-dit qui venait l’interpeler, elle caressa son corps chaud, elle eut envie d’elle sans remord, sans calcul, maintenant qu’elle était libre, libertine, grâce à moi…Elles regagnèrent le salon, et ce fut l’apothéose…Julie mena la danse un long moment, déshabillant son amie, profitant de son inexpérience pour prendre le dessus, la mettre nue et gagner sa chambre…Les lèvres de Julie glissaient sur la peau tendre et blanche et maman devint folle ressentant le désir pour un corps de femme, se glissant entre ses cuisses et goûtant son sexe, ce nectar qui s’insinuait entre ses lèvres, au même titre que la langue qui commençait à la faire délirer…Cuisses ouvertes, Julie s’offrait à elle, la guidant parfois, lui montrant ses seins sensibles que le moindre contact de sa langue suffisait à animer, et Julie jouissait sans feindre, sans se retenir… Maman connut alors le partage, s’offrit aussitôt, sentit les doigts venir masturber son clito et l’emmener dans un monde lesbien, fait de touches de couleurs différentes, comme un tableau et elle se délecta dans ce premier contact, jouit pleinement comme avec son amant. Julie l’accompagna dans cette découverte, elles jouirent longuement, revenant goûter aux lèvres de miel, à la soie des cheveux, aux mains douces et tendres qui berçaient sa poitrine, massaient ses tétons, et la faisaient gémir en griffant les draps…Maman était comblée, elle pleurait presque d’avoir raté cela, elle en voulut encore, Julie resta…Toute la nuit elles firent l’amour sans complexe, maman était aux anges, elle apprécia un soixante-neuf expert, découvrit ce sexe de très près, les couleurs, les senteurs, les sucs qui en coulaient, et les expressions de jouissance qu’elle faisait naître, en exprimant les siennes…Elle aima l’échange de tendresse, ces postures indécentes, enchevêtrées, caressantes, cherchant le plaisir dans les endroits secrets, puis se déchaînant en caresses ultimes, amenant de la folie dans leurs rapports intimes…Petit à petit, maman devenait lesbienne, sans s’en apercevoir, juste en le faisant, trouvant son point G, provoquant plusieurs orgasmes, qui libéraient Julie comme dans ses soirées…Là, c’était son amie, dont elle avait rêvé, depuis tout ce temps, et maintenant elle jouissait d’elle, c’était un pur bonheur qu’elle tenait entre ses doigts…Au matin, maman comprit qu’il s’était passé quelque chose…Elle souriait bêtement, préparant le café dans ce déshabillé en dentelles acheté pour son premier amant… Julie la suivait des yeux…Quand maman me téléphona, le lendemain et qu’elle me raconta cette soirée, ses sentiments, elle était enjouée, comme sur une autre planète au point de lui demander si elle n’avait rien pris…Mais non, elle était fidèle à son image… Elle m’annonça qu’elle allait vivre avec Julie. Elles habiteraient chez maman, me prévenant ainsi de ce changement soudain de sexualité…Elle ajouta que Julie aimait le partage, ce qui devrait aboutir à pas mal d’expériences destinées à améliorer encore la sexualité de maman…Je sais maintenant que je tiens d’elle et que mes besoins de sexe ne sont pas maladifs, je suis jeune et normale, surtout sans morale depuis que Julie a croisé mon regard…Maman coquine ? Moi aussi !FINMarika842010mars 2019

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