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Amateur

au cinemaIl fait un de ces temps à vous flanquer un cafard mortel. Même pas envie de se branler ! Le ciel est tombé par terre. Je m’ennuie à mourir. Le dernier mec en date avec qui je fricotais vient de se tirer avec un gamin plus jeune que lui. Il n’a même pas pris la peine de me prévenir. Il devait venir aujourd’hui et comme il n’arrive pas, je lui téléphone. Et là, il me répond qu’il ne viendra pas. Il n’en a plus envie.Il faut que je me change les idées. Je ne veux surtout pas me lancer à la recherche d’un autre mec dans l’état où je suis. Je risquerais de tomber sur n’importe quoi et d’en souffrir encore plus. Je décide de me payer un cinéma. Je feuillette le journal et je vois qu’on passe un film porno avec des gais au cinéma du bas de la ville. Je m’habille et j’y vais. Ça me changera un peu les idées et puis, si je peux me payer une sucette dans une cabine, pourquoi pas. C’est toujours ça de pris.Je m’installe confortablement dans la salle. Je me suis assis n’importe où, je n’y vois rien, il fait noir et mes yeux ne se sont pas encore habitués à l’obscurité. Le film ne casse vraiment rien, comme tous les films de cul d’ailleurs. Il n’y a jamais d’histoire, juste des bites et des chattes, des branlettes et des séances de lèches. Mais ça passe le temps et ça ne demande pas d’effort. M’habituant à l’obscurité, je commence à regarder autour de moi pour repérer la clientèle. Il n’y a que trois mecs dans la salle. Un petit vieux 70/75 ans deux rangs derrière moi, un gros qui ronfle de l’autre côté de la salle, tout près de l’écran et un mec qui a l’air jeune dans le fond, à l’avant dernier rang.Dommage pour le jeune, d’habitude, ceux qui viennent pour s’amuser un peu se mettent au dernier rang. À l’avant dernier, ce sont les voyeurs. J’attends encore un peu. Il y a quelques bruits au fond de la salle. Ce sont des spectateurs qui circulent entre les rangées de sièges. Je me retourne pour constater que le jeune a disparu güvenilir canlı bahis siteleri mais que le petit vieux est allé s’asseoir au dernier rang. Il est seul. Je patiente quelques minutes, il y a bien deux ou trois personnes qui entrent dans la salle, mais elles se dispersent dans la salle. Rien d’exploitable pour moi.Faute de grives, on mange des merles, pensais-je.et puis c’est bon les papys ! Je vais voir ce qu’il a l’intention de faire, on ne sait jamais. Je vais m’installer au dernier rang, quelques sièges plus loin que lui. Je le surveille du coin de l’œil. Jusqu’à présent, il se tient tranquille. Les gars qui s’installent au dernier rang pour se payer un branlette ont pour habitude de signaler leur envie assez bruyamment. Zut, il va encore falloir attendre. Et film qui ne vaut même pas le dixième du prix de l’entrée. Même les couleurs sont dégueulasses et c’est flou en plus.— Et alors, pépé, me dis-je, tu veux ou tu ne veux pas ?Comme s’il avait entendu ma pensée, je vois qu’il commence à se triturer le pantalon. Il ouvre sa braguette, fouille dans l’ouverture de son caleçon et en sort sa bite. Je ne vois pas grand-chose d’où je suis mais j’ai le regard tourné vers le mec. Je ne me cache pas, je veux qu’il sache que je l’ai à l’œil. il jette un coup d’œil dans ma direction puis recommence à regarder l’écran. Il m’a vu le surveiller, c’est certain. Que va-t-il faire ? Il continue à se branler, tranquille, sans se soucier de moi. C’est pour moi le signal que j’attendais. Je m’approche de lui. Il lève le regard mais ne range pas son attirail. Je m’assois dans le siège qui jouxte le sien.il a lâché sa bite qui reste hors de son froc. Ses mains sont sur ses cuisses. Il ne fait plus rien pour l’instant. Je jette un œil, il ne bande pas. Moi non plus. On regarde les images qui défilent sur l’écran avec une indifférence certaine.La main du papy vient de bouger. Il l’a posée sur mon genou. Il attend güvenilir illegal bahis siteleri une réaction de ma part. Je ne fais rien. Je le laisse faire. Sa main remonte tout doucement vers ma cuisse. Il me caresse avec douceur. Il vient de me toucher la bite avec un de ses doigts. Il le laisse au contact et il ne bouge plus. Comme je ne réagis pas encore, il fait bouger un peu son doigt et il caresse le sexe. Ce n’est pas désagréable du tout. Je le laisse faire. Après quelques minutes de ce jeu, j’écarte un peu les genoux. il place sa main entièrement sur mon sexe. Je sens la chaleur de sa main sur ma bite, je sens ses doigts qui agitent mes couilles.il se tourne légèrement vers moi et il tente d’ouvrir ma braguette. Je me pousse un peu en avant pour lui faciliter le travail. Il ouvre la ceinture de mon pantalon, écarte les pans de tissu puis il repousse l’élastique de mon caleçon. Il pousse une main sous le caleçon et va chercher ma bite qui commence à se raidir. il est doué pour la branlette. Il me fait mettre la bite au garde-à-vous en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Il me caresse le gland, joue avec le prépuce. Il me malaxe les couilles. Je bande dur . il s’amuse avec mon service trois pièces pendant vingt bonnes minutes, uniquement par caresses. Mais quelles caresses ! C’est un dieu, ce mec ! Il surveille chacun de mes mouvements et anticipe mon éjaculation. Il s’arrête toujours au bon moment, ralentit ses œuvres pour me laisser reprendre mes esprits puis recommence à m’exciter. Dix, vingt fois, il me conduit jusqu’à l’extase puis, juste avant que je jouisse, il stoppe net et attend, m’octroie un petit repos. Je n’ai pourtant pas encore dit le moindre mot, je n’ai fait aucun geste. Il sait ce qu’il doit faire rien qu’en surveillant mes mouvements et en inspectant mon anatomie. Un dieu, vous dis-je !Il vient de changer de position. Je me demande à quel jeu il va encore se livrer. güvenilir bahis şirketleri Il fait un peu descendre mon pantalon et le caleçon pour bien dégager les objets de ses envies. Je l’aide un peu en soulevant les fesses. Une fois mes habits sur les genoux, il approche la tête de ma queue et entame une fellation du tonnerre de Dieu. Il est si doué qu’au moment de jouir, j’ai l’impression qu’il m’aspire les couilles par la verge. Je lui crache mon foutre brûlant dans la gueule. Il avale le tout. Il me nettoie la bite à grands coups de langue terriblement experte. Il continue à me titiller les burnes et à me sucer la bite jusqu’à ce que je commence à débander.Il relève la tête et se cale dans son siège. Je dois lui rendre la politesse. Je tends la main vers sa bite qui prend toujours l’air. Elle est tout petite, toute fripée. Il ne bande pas, Comme il l’a fait avec moi, j’entreprends de lui dégager le pantalon et de descendre ses habits sur ses genoux. J’ai accès à son artillerie et je ne m’en prive pas. Je dois lui servir un service de qualité équivalent à celui qu’il m’a donné. Tout comme lui, je joue avec sa jouissance en faisant durer son plaisir au maximum. Il me souffle à l’oreille : «Tu ne te débrouilles pas mal du tout, fiston. Continue, c’est extra !» Je n’ai pas besoin de ses encouragements, mais un compliment de temps à autre, ça vous met du baume au cœur. Lorsque je juge que j’ai assez profité du sexe de papy je le suce à fond. Il me crache sa liqueur à grands jets au fond de la gorge. Je bois avec délectation son sperme. Il souffle comme un possédé. Les gars dans la salle se retournent, mais il n’en a cure. Il prend son pied et c’est tout ce qui compte pour lui. Ma fellation terminée, il me tend un mouchoir en papier pour m’essuyer le visage.— Merci, c’était extra. Et toi, tu as aimé ? demande le vieux.— C’était parfait, lui dis-je. Il y a longtemps que je n’avais été sucé de la sorte. Merci. et si nous allions prendre un verre maintenant ? Nous nous sommes dirigés chez lui , il habitait a coté du ciné on a pris un drink on s’est quitté pour ce jour mais tres vite nous nous sommes revus et ce fut des séances de baises magnifiques ! quel papy superbe , je n’ai pas regretté du tout mon ex mec au contraire !

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